Le déjeuner
Il est maintenant 12h30 je suis sur le
boulevard et j’ai un peu faim, alors je décide d’aller manger un morceau dans un café.
Je prends le premier que je trouve, je
rentre, il y a beaucoup de monde en train de manger. Le serveur qui m’accueille me place à une table toute seule à coté de deux mecs. Ce sont des
ouvriers en cote de travail, ils parlent et ne prêtent pas plus que ça attention à moi.
Je demande au serveur où sont les
toilettes car je veux aller me laver les mains après ce petit séjour dans le métro. Je pose mes affaires sur la banquette et je vais aux toilettes faire ce que j’ai à
faire.
Je reviens à ma table mais pour
m’assoire il faut que je passe entre les deux tables. Je m’excuse de les déranger et je me glisse entre les deux tables alors que ma jupe remonte, laissant deviner la dentelle de mes bas ainsi
que la jarretelle jusqu à la banquette où je me pose tranquillement.
Je lis la carte pour savoir quoi
prendre et je ne prête pas attention aux deux mecs près de moi, jusqu’au moment ou :
- eh bien ma p’tite dame, nous vous souhaitons un bon appétit.
- Merci
- Avec plaisir, mais que fait une charmante dame toute seule au
restaurant ?
- Je ne suis pas toute seule vous êtes là… (dis je avec le sourire)
Je vois dans le regard de ces hommes
que je ne les laisse pas insensible…normal après ce qu’ils ont pu voir.
Ma salade arrive, et je commence à
manger, tout en remarquant qu’ils me regardent de plus en plus, et voilà mon excitation qui revient en force, je sens ma chatte s’ouvrir et mouiller grave. Ils tentent de mieux voir comment je
suis habillée. Déjà qu’ils ont une vue sur mes seins assez sympathique je vais leur laisser voir ce qui se passe en bas.
J’enlève la serviette qui est sur mes
cuisses pour que celui qui est a coté de moi puissent voir mes bas et deviner ta chatte pour l’autre
- Vous ne prenez pas de dessert ?? (me demande l un d eux)
- Non il n y a pas ce que je veux sur la carte.
- Nous pouvons donc vous offrir un café alors ?
- Avec plaisir J
Les deux hommes ne loupent pas une
miette du spectacle qui s’offre à eux.
- vous venez faire quoi dans le quartier ?
- je viens faire quelques courses, du lèche vitrine, vous travaillez dans le
coin ?
- oui nous sommes sur un chantier dans la ruelle d’à coté, on en a assez de manger dans la
roulotte de chantier alors on vient de temps en temps ici le midi et on ne regrette vraiment pas aujourd’hui…
- elle est si triste que ça votre cabane ?
- oh que oui… en plus dans cette ruelle, c est calme, personne ne passe, c’est a mourir mais bon
on finit bientôt, c est pas plus mal comme ça.
- Ah d’accord, je ne sais pas du tout à quoi peut ressembler une cabane de chantier, j’en vois
de temps en temps quand je circule mais je n ai jamais vu l’intérieur, je pensais que c’était aménagée avec un minimum de confort.
- Ben non, mais venez donc la visiter si vous le souhaiter
- Heuu… peut être que je passerais si j ai le temps tout à l heure après mes courses. Je vous
remercie.
- Bon, nous devons y retourner, bonne journée m’dame.
- Merci vous aussi.
Ils se lèvent tous les deux et
partent, mais j’ai bien pris le soin de leur montrer ma chatte discrètement. (Comme vous me le faites faire quand nous sommes ensemble)
Je règle ce que je dois et je quitte à
mon tour le restaurant en direction des magasins qui se trouvent à proximité, ce petit repas m’a bien excité une fois de plus je pense que mon après midi va être super… tout en marchant je ne
sais pas pourquoi mais je ne peux m’empêcher de penser à la cabane de chantier, et à ses deux occupants… (Je n’ai jamais baisé dans une cabane de chantier)
Pour me rendre aux boutiques ou je
désire aller, je croise la fameuse ruelle en question et je tourne la tête en direction de la roulotte que j’aperçois au loin, en effet elle est plus que calme cette ruelle et je continue mon
chemin… malgré tout très excitée…
Après quelques pas, je décide tout de
même d’y aller…
Je rentre dans la ruelle, elle est
étroite et peu de voitures doivent y passer, il y a de vieux immeubles de part et d autre de la rue, elle est calme, je ne me croyais même plus à Paris
Je continue d’avancer dans la ruelle,
je sens mon cœur battre de plus en plus fort, je voudrais faire demi tour mais mon envie est plus forte alors je continue sans savoir ou je vais ni
ce qui va se passer.
J’arrive à coté de la cabane en
question, la porte est ouverte mais j’entends les ouvriers parler un peu plus loin sur le chantier. Je les écoute et je comprends qu’ils parlent de moi, de ce qu’ils ont vu ce midi au
restaurant.
- putain !!! t’as vu cette salope tout de même, celle là elle aime le cul ça se
voit
- oh que oui, minijupe, des bas, j’étais assis à coté d elle j ai bien vu… et elle a des nichons
putain comment je les boufferais bien
- et encore t as pas vu qu’elle n avait rien sous sa jupe, la chatte à l’air, elle écartait les
jambes de temps en temps c’est comme ça que j ai vu, elle m’a filé la gaule cette pute.
- Moi aussi la saloooooooppppeeeee !!!!
Est-ce la peur ou le désir mais j’ai
envie de pisser alors je me mets derrière la cabane et je pisse…tout en les écoutant,
- Je te jure si elle vient voir la cabane je vais te la baiser et l’enculer d’une
force !!!
- Ok et moi je me ferais pomper par cette pute en chaleur
Ça m’excite encore plus je commence à me toucher.
J’aurais envie d’aller vers eux mais
je n’y arrives pas alors avant de reprendre mon chemin je veux tout de même voir comment est l’intérieur de cette cabane.
Je me dirige vers la porte, je penche
la tête, personne, je monte les deux petites marches et je rentre dedans. Une cabane austère avec une table et deux chaises. Il y a là les fringues des deux ouvriers, ceux qu’ils doivent porter
après leur journée de travail et accrocher sur les cotés des posters de femmes à poils, c’est bien un univers de mecs.
Je les entends toujours parler de
moi…
- putain je me ferais bien sucer, elle m’a trop excité cette salope
- t’as raison moi aussi je me viderais bien les couilles dans son gros
cul
Je suis en feu, ce qu’ils disent sur
moi m’excite au plus haut point et je décide de me caresser en les écoutant parler de moi comme une salope, comme une pute. Je les entends dire qu’ils aimeraient bien prendre mon gros cul, je me
caresse de plus en plus…
Je suis sur un nuage, la situation et
le lieu me mettent dans un état grave…je plane…
Je jouis comme une malade… et là je
réalise que je ne les entends plus. Auraient ils pris connaissance de ma présence dans leur cabane ?? Un peu d’angoisse me prend
Je remets mes vêtements correctement
et rapidement avant qu’ils n’arrivent et je vais repartir.
Je me dirige vers la porte de la
cabane, je commence à descendre la première marche et là sans rien comprendre je me retrouve sur le cul au fond de la roulotte projetée par une main solide. Je vois dans l’encadrement de la porte
les deux ouvriers là devant moi en train de se caresser par-dessus leur pantalon.
- Alors sale pute, on vient se toucher chez nous et on repart sans rien
dire ?
Dit celui qui m’a repoussé au fond de
la cabane en sortant sa bite de son pantalon. Une grosse queue bien raide, large et toute gonflée.
Là je réalise qu’ils ont du me voir,
me regarder et m’entendre jouir mais depuis quand sont ils là… (Du coup je me remets à mouiller)
- Laissez moi !!!
- Tu ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça, une chaudasse comme toi, ne peut pas partir
sans nous faire une petite gâterie.
- Non laissez moi partir (et je tente de forcer le passage mais sans grande
conviction)
Et là un des deux m’attrapes en
mettant sa main sur la bouche, me traîne au fond de la cabane et me penche en avant en direction de la bite de son pote. Je me débats mais je ne fais pas le poids…J’en rêvais, je n’attendais que
ça, alors je décide d’être docile et de pomper ces deux mecs de leur donner ce qu’ils attendent de moi…
Déjà penchée pour sucer le premier qui
a la bite face à ma bouche je commence à le pomper, mais sa bite est tellement grosse que j ai du mal à la prendre complètement mais il pousse, j’ai
donc le cul en arrière offerte (comme vous aimez mes amours) et là je sens une grosse bite me prendre sans ménagement, il me défonce sans vergogne la chatte et le cul pendant que l autre me
défonce la bouche à en vomir, mais quel pied je prends.
Je ne sais pas comment elle est, mais
elle me déchire et je la sens passer dans tous mes trous.
- regardes comme elle aime ça cette grosse pute, je te l’avais dit
- t’as raison en plus elle suce bien, défonces lui son gros cul
- je fais que ça, il est aussi ouvert que sa chatte (meugle t il)
- putain c’est une sacré salope celle là
- elle veut de la queue elle va en avoir…
- on t’a vu pisser et te toucher en même temps salope, tu te caresses quand tu pisses toi t’es
vraiment une grosse truie…
- oui je me caresse en pissant, oui je suis une salope, oui je suis une truie mais c’est ce que
vous voulez alors défoncez moi bordel !!!
- regardes comment elle prend son pied cette pute !!
- ouiiiiii je prends mon pied, encore….
Les deux hommes continuent de me
défoncer par tous les trous…avec une telle violence que la tête m’en tourne mais qu’est ce que c’est bon.
L’homme que je suce me tient par les
cheveux et rythme la cadence en bougeant ma tête avec force pendant que l’autre me frappe les fesses en me prenant…. Tous deux m’insultent de plus en plus, j’aime…
Et d’un seul coup je les sens prêt à
jouir presque ensemble, le premier va m’inonder la bouche de son foutre chaud en braillant
- avale sale pute !!!!
Et l’autre de
dire
- je vais lui en coller plein son gros cul à cette truie !!!
Je sens les deux compères gicler en
moi, je suis aux anges…Je jouis comme une folle…
Leur affaire faite, ils se rhabillent,
me tirent par les cheveux et me virent de la cabane à moitie nue en me disant :
- casses toi salope et si tu as envie de reprendre un coup dans le cul tu peux toujours
revenir !!!
La bouche pleine de sperme, et je me
retrouve au beau milieu de la ruelle comme ça…
Je remets mes vêtements correctement
et je repars vers les magasins, contente et fier de moi.
Je marche en repensant à ces deux
hommes rustres qui m’ont comblé et qui m’ont fait jouir comme une malade.
Cette journée se passe vraiment très
bien pour le moment.
- que peut il se passer encore ??
Voilà la question que je me pose en
marchant…
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