Fantasme

Lundi 21 juillet 1 21 /07 /Juil 01:13

Le retour

 

Me voilà arrivée sur le quai, métro hôtel de ville, ce n’est pas la bonne heure pour le prendre car c’est blindé de monde. Les gens sont pressés, stressés et se bousculent dans tous les sens, moi je suis cool, zen, je plane et je ne cesse de penser à tout ça. Je mouille encore, mais quand est ce que ça va se calmer ?

Pff je viens de me rendre compte que je ne suis pas sur le bon quai, je regarde sur le plan et je vois que je dois faire un changement pour retrouver la ligne qui me conduit jusque villepinte.

Ce n’est pas grave, je ne suis pas particulièrement pressée.

Je n’ai pas acheté tout ce que je voulais… je serais obligée de reprendre une journée pour y retourner. Un métro arrive, je tente de monter dans la rame mais ce n’est pas possible, il y a trop de monde, alors j’attends le prochain. Je m’assois sur un siège et je patiente. Partie dans mes pensées, je ne remarque pas tout de suite qu’un homme passe et repasse devant moi en me regardant. C’est un homme d’une trentaine d’années qui comme tout le monde attends son métro lui aussi. J’entends au loin qu’il arrive, je me lève et me rapproche du quai, l’homme en question est devant moi. Le métro s’arrête, les portes s’ouvrent, du monde descend et nous pouvons enfin monter à notre tour. Dans la cohue, je sens une main me passer sur les fesses par-dessus ma jupe, je ne sais pas si c’est intentionnel ou pas mais ça m’a excitée. Voilà, nous sommes à l’intérieur, la rame est bondée. Je me tiens à la barre, car il n y a pas de place assise, coincée au milieu de tout ce monde. Bon alors je descends dans deux stations. Le métro démarre et à peine il se met en mouvement que je sens qu’on me colle derrière. Hummm… qu’est ce qui va se passer ?

Le métro bouge et nous suivons le rythme imposé par le mouvement de la rame. Mais je sens que la personne derrière moi se colle de plus en plus, c’est un homme j’en suis sure, car je sens son sexe contre mes fesses.

Il se rapproche de plus en plus, personne ne peut le voir faire, il y a trop de monde et moi je ne peux même pas me retourner pour voir à quoi il ressemble. Il se frotte de plus en plus et je sens sa bite durcir, ça m’excite énormément. J’aimerais bien qu’il me touche, sentir sa main sur mon cul, ses doigts dans ma chatte. Une station, du monde descend, et d autres remontent, la prochaine c’est la mienne. Tiens, je ne sens plus l’homme derrière moi, à peine je finis ma pensée que ça recommence. Là il se colle très fort, et il bande très dur… hummmm… je mouille comme  une salope encore une fois.

La prochaine station est la mienne. Le métro s’arrête et je descends sans avoir vu l’homme qui était derrière moi et qui m’a mis le feu.

Je remonte le quai pour prendre ma correspondance. Je suis le mouvement. J’arrive à un escalator que j’emprunte… avec la jupe que j’ai, je sais que des regards vont se poser sur mon cul, je monte une jambe sur la marche du dessus pour relever ma jupe discrètement.

J’imagine tous ces regards posés sur moi et ça me fait mouiller de plus belle.

J’emprunte un long couloir ou je croise du monde, des hommes, des femmes, des ados, et très souvent je suis regardée par tout ce monde. J’aime qu’on me regarde. Ça m’excite, ça me fait mouiller.

J’arrive enfin sur le bon quai, il est noir de monde. Je fais comme tout le monde, j’attends.

Le RER arrive, je monte dedans, toujours pas de place assise alors je me mets à coté de la barre pour me tenir et je reste debout. Voilà c’est parti pour vingt minutes maintenant.

Le RER démarre et à peine a-t-il quitté le quai que je sens de nouveau derrière moi la même chose que tout à l heure. L’homme m’aurait il suivit ? Je pense que oui car la façon de faire est exactement la même.

Je sens sa bite contre mon cul, elle est dure. Puis d’un seul coup je sens une main glisser le long de mes fesses. Hummmm… j’adore…

Je pousse mon cul en arrière pour l’inviter à me toucher, chose qu’il ne tarde pas à faire. Je sens qu’il relève ma jupe doucement et discrètement, je le laisse faire.

Je descends ma main car j ai envie de toucher cette queue qui est collée à moi mais je n’y arrive pas.

Que se passe t il ? je ne sens plus la main de l’homme ni même son sexe contre mon cul.

Il s’est reculé.

Puis d’un seul coup je le sens se rapprocher de nouveau, je peux sentir sa main posée sur mon cul en train de le caresser, et… non !! Ce n’est pas vrai !!! Je sens sa queue, il l’a sorti et il est en train de se branler sur mon cul, putain le kiff… il se branle sur mon cul au milieu de tout le monde.

Je me recule pour lui faire comprendre que j’aimerais bien la sentir plus, j’écarte les jambes, je sens son gland passer entre mes fesses, entre mes lèvres, j’ai chaud, très chaud même. Je ne peux toujours pas descendre ma main tellement il y a du monde. Je tourne la tête afin de voir ce mystérieux personnage qui me fait tant de bien. Mais je ne peux le voir, par contre je croise le regard d un homme qui a le nez plongé dans mon décolleté. Un petit vieux d’environ 65 ans à peine plus grand que moi, il a une vue de rêve. Lui aussi tient la barre où j’ai ma main. Je la fais glisser le long de la barre et elle arrive au niveau de la sienne, ma main touche maintenant sa main, et toujours l’autre qui se branle sur mon cul.

Le vieux à coté de moi regarde  mes nichons avec beaucoup d’insistante, je baisse à mon tour la tête et je vois une bosse sur son pantalon. Ça m’excite… je passe ma main sur la sienne en continuant de la faire descendre.

Je bouge mon cul car je sens qu’il a rentré un doigt  tout en se branlant.

Ma main est enfin arrivée en bas de la barre, au niveau du sexe du vieux. Il a vu que je l’ai mise là et je ne bouge plus. Sous couvert d’une secousse, il vient plaquer sa bite le long de ma main. Je ne la retire pas, je la laisse et il en profite pour se frotter à elle.

Hummm toi tu as envie que je te touche… devant lâcher la barre je me plaque contre l’homme qui est derrière moi et je pose ma main sur la bite de l’autre. Il se rapproche de moi, j’ouvre discrètement sa braguette et rentre ma main sans son pantalon et là je trouve une queue a moitié dure que je commence à branler lentement. L’homme à chaud, il transpire, des gouttes perlent sur son front et toujours celui de derrière qui me passe sa bite entre les fesses… hummm j’aimerais bien la sentir en moi…

Je branle le petit vieux et très vite je le sens gicler dans ma main. Je m’essuie sur son slip et je la retire pour reprendre la barre.

Je sens l’homme derrière moi durcir de plus en plus…

A-t-il vu ce qui vient de se passer ?

M’as t il vu branler le petit vieux ?

Je ne le sais pas, mais ce que je sens c’est un liquide chaud couler entre mes fesses, il a gicler sur mon cul, m’a inondé de foutre et moi j ai jouis comme une malade en serrant les dents.

Je suis arrivée, je tire sur ma jupe et sors sans vouloir regarder l’homme qui était derrière moi.

J’arrive à ma voiture, je m’assois et je me caresse pour pouvoir laisser éclater ma jouissance.

Putain quel pied j ai pris … je suis une grosse salope et fier de l’être, je ne suis pas prête  d’oublier mon après midi parisien.

Je démarre ma voiture et je rentre à la maison tranquillement, épuisée mais tellement comblée.

 

Voilà mes chéries vous savez tout de ma journée, et j’espère que votre petite pute a bien été à la hauteur de vos espérances.

 

Je vous aime et je serais toujours prête à combler le moindre de vos désirs.

 

Fin de la journée.

Ce n'est qu'un fantasme mais qu'est ce que j'aurais aimé que ça soit vraiment arrivé... j'espère qu'il vous aura plu autant qu'à moi.

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Fantasme
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Lundi 21 juillet 1 21 /07 /Juil 01:11

Donc pour repartir elle passe forcément à coté de la ruelle… je lui propose d’aller boire un verre avant qu’elle ne parte j’ai une petite idée derrière la tete, elle accepte. Nous nous dirigeons vers le bar et nous arrivons à la ruelle. Là je lui montre la cabane de chantier.

-        regardes c’est là

-        ah oui ?

-        viens on y va

-        non je ne peux pas, je n’ose pas

-        tu n’as rien à faire, juste à laisser les choses se passer, tu vas voir ce sont deux grosses brutes mais ils ont des queues à tomber de plaisir. Ils vont t’insulter te traiter de tous les noms mais ils vont te faire prendre ton pied et moi aussi.

-        Je n’ose vraiment pas…

Apres quelques instants de discutions, je lui dis qu’elle en a très envie et qu’elle prendra  un méga pied, elle accepte. Nous nous engageons dans la ruelle et nous arrivons à proximité de la cabane.

 Arrivées à proximité de la cabane, j’entends les ouvriers sur le chantier parler de tout et de rien. Je la fais entrer dans la cabane…

Nous posons nos sacs sur une des chaises qui est là près de nous. Elle est tendue mais je la prends dans mes bras et je l’embrasse, elle se décontracte.

-        nous ne sommes pas bien là toutes les deux à l’abri des regards, tranquilles ?

-        si mais je ne suis pas rassurée

J’ouvre son chemisier je lui enlève et je fais glisser sa jupe par terre. Elle est là devant moi en culotte et soutien gorge ses seins tendus vers moi, je me déshabille.

-        t’es folle, les ouvriers risquent d arriver (dit elle…)

-        ils sont en train de travailler tu les entends parler, ça ne t’excite pas ?

-        si mais je ne suis pas rassurée lâche t elle de nouveau

-        tu sais tout à l heure je suis venue toute seule, ils m’ont baisé et j’ai pris mon pied, ils ne m’ont pas tué ni même fait de mal

-        t’es folle

-        oui et toi aussi je vois que ça t’excite et puis tu es comme moi tu aimerais bien qu’ils nous surprennent en train de faire l’amour

-        je le reconnais, oui j’aimerais bien

Nous sommes toutes les deux en petite tenue, moi en porte jarretelles soutien gorge, elle en culotte soutien gorge et dim up. Nous commençons à nous embrasser et à nous caresser.

Je l’assois sur la table après lui avoir enlever ce qui lui restait de vêtements sauf ses bas et je commence à lui faire l’amour. Je prends ses seins à pleine main, je les malaxe, je les embrasse, je les pince.

Je lui écarte bien les jambes, sa chatte s’ouvre je la regarde, elle est enfin à moi, pour moi, je vais pouvoir la bouffer et la boire, je suis comme une folle ça coule le long de mes jambes.

Je vois une couverture dans un coin alors je décide de la mettre par terre et nous nous allongeons l’une contre l’autre. Elle a envie de me lécher elle aussi alors nous faisons un 69 et nous nous bouffons la chatte mutuellement, quel pied. Je sens ses doigts passer entre mes fesses, et jouer avec mon cul je lui fais pareil, elle ondule, elle gémis de plus en plus fort, je veux la faire hurler. Elle me rentre un doigt dans le cul, je fais pareil.Elle coule sur ma bouche, je la bois, hummm que son jus est bon. Je me frotte contre ses bourrelets j’adore ça. Puis nous ne remettons dans le même sens, et nous collons nos chattes l’une contre l’autre, nos clitos se frottent et nous partons dans un plaisir immense…(je n’entends plus les ouvriers, mais elle n’y a pas fait attention) nous jouissons comme deux salopes. Et presque ensemble nous disons :

-        une bonne grosse queue ne serait pas de refus

-        hummm ouiiii

je m’assois j’écarte les jambes et je lui demande de me lécher de nouveau, ce qu’elle fait sans se faire prier. Je suis assise face à la porte, elle est à genoux le cul en l’air.

Qu’il doit être beau son gros cul de salope tendu vers l’arrière, je regarde son dos je suis les courbes de son corps jusqu’à son cul, et là je vois les deux ouvriers muets, ils n’en croient pas leurs yeux, en train de s’astiquer la bite comme deux forcenés. Je leur fais signe de ne rien dire, ils me répondent d’un signe de la tete.

-        hummm oui bouffes moi bien la chatte salope, tu aimes ça ?

-        ouiiii elle est bonne

-        ça te plait de tendre ton gros cul comme ça vers l’arriere ?

-        oh que oui, il est ouvert et ma chatte coule

-        tu imagines si les ouvriers arrivaient là ?

Elle a un orgasme suite à mon propos et me répond :

-        ils verraient mon cul offert

-        tu aimerais qu’ils t’enculent ?

-        hummmmmmmm ouiiiiiiiiiiii

-        allez y les mecs enculez moi cette grosse salope

Elle devait penser que je plaisantais mais elle a de nouveau jouis en me regardant avec un grand sourire. Et puis elle a entendu les ouvriers montés dans la cabane leurs deux queues sorties, tendues, violacées par le désir :

-        alors la grosse pute est revenue avec une copine à elle ?

-        oui, pourquoi il ne fallait pas ?

-        oh que si, deux putes pour nos deux queues…

-        alors avant de toucher regardez nous et branlez vous à coté de nous

Nous nous sommes remises chatte contre chatte et nous caressons en suçant les deux mecs.

Leurs bites sont énormes, elles nous remplissent la bouche à toutes les deux.

-        vous aimez ça salopes ?

-        oui on aime ça

-        vous êtes deux grosses chiennes, deux grosses vaches avec vos mamelles là

-        et alors ça vous dérange ?

-        non pas du tout, on aime baiser les truies de votre espèce

Et d’un seul coup ils nous relèvent sans ménagement et nous penchent sur la table le cul en arrière.

-        touchez vous la chatte pendant qu’on se branle sur vos gros cul de salope

-        t’as vu comment elles sont chaudes ces deux là ?

-        t’as raison, ce sont vraiment deux superbes putes comme on en aimerait plus souvent

D’un seul coup les deux mecs se rapprochent de nous et se mettent à nous enculer comme deux sauvages, ils nous défoncent violement et nous nous montons de plus en plus, nous nous embrassons pendant qu’ils nous pêtent le cul en nous insultant.

-        ah elles en veulent les deux salopes, elle veulent se faire défoncer, elles aiment la bite… vous allez être servis grosses putes.

-        Ça c’est clair qu’elles vont être servi.

Je regarde ma copine de jeu et je vois qu’elle prend son pied, elle hurle de plus en plus comme moi, elle aime se faire défoncer comme ça par les mecs, c’est une sacrée chaudasse elle aussi.

Ils nous font nous mettre à genoux devant eux et ils se branlent sur nos visages.

-        ouvrez vos bouche les deux putes là

-        oui ouvrez bien on va vous gicler à la gueule

Et les deux hommes se branlent de plus en plus fort et de plus en plus vite, leurs queues grossissent, ils ne sont pas loin de jouir. Et tout en continuant de se branler ils prennent nos tête et enfoncent leur gros engin au plus profond de nos gorges pour y déverser leur semence chaude.

-        avales sale pute (dis l’un)

-        prends ça grosse truie (dis l’autre)

-        et pas une goutte par terre je vous préviens sinon vous allez lécher ce qui tombe

Ils giclent en poussant des râles puissants et nous avalons tout ce qu’ils nous donnent comme deux grosses chiennes dociles.

Nous allions pour nous relever quand l’un deux nous dit :

-        non, on n’en a pas finit avec vous, restez à genoux les deux putes et pas un mot.

Nous nous regardons toutes les deux et nous nous demandons ce qui va se passer, je lis de l’angoisse dans les yeux de ma partenaire de jeu comme elle peut en lire dans le mien malgré que je tente de le dissimuler. Ils nous font mettre à quatre pattes  le cul bien en arrière et nous demandent une fois de plus de ne plus bouger. Je tente de me relever mais une claque me rappelle à l’ordre. Voyant ce qui se passe, elle décide de ne pas bouger non plus. Nous sommes là, nous attendons quelques minutes jusqu’au moment ou nous entendons une voiture s’arrêter dans la ruelle, deux portes claquent, des voix, des pas qui se dirigent vers la cabane. Un cri rompt le silence

-        ohhh vous êtes là les mecs ?

-        oui dans la cabane, venez on a une surprise pour vous !!!

Ma copine et moi nous regardons et comprenons que nous allons de nouveau être baisées comme des putes. Nous entendons les pas se rapprocher et d’un seul coup :

-        vous les avez trouvez ou ces deux gros culs ?

-        on vous expliquera après, on vient de les baiser et de se faire sucer, et comme on savait que vous alliez arriver, on vous les a garder.

-        Allez y profitez en, baisez les, enculez les, pissez leur dessus, ce sont deux grosses salopes, deux grosses truies qui aiment le cul.

Les deux mecs passent devant nous, deux grands blacks, ils sortent leurs bites, putain elles sont plus grosses que les deux d’avant. On se regarde et dans nos yeux un mélange de peur et d’excitation mais nous ne pouvons plus bouger plus partir. Nous n’avons même pas le temps de dire quoique ce soit que déjà nous avons toutes les deux une queue dans la bouche, alors que nos deux compères, s’en reprennent à nos culs. Ils nous besognent en parlant entre eux.

-        alors les mecs, ce n est pas la meilleure façon de terminer la journée ???

-        putain si, elles sucent super bien les deux là

L’un deux s’adresse à moi

-        ouvres ta bouche salope

Je m’exécute, et là le mec me pisse dessus, il vise ma bouche la remplit de pisse alors que l autre m’encule de plus en plus fort.

Elle me regarde elle prend son pied, elle hurle en voyant le mec me pisser au visage.

Et puis là, nos deux blacks s’assoient sur la table, ils nous font venir sur eux, ils nous baisent là assis sur la table comme deux grosses putes. Puis d’un seul coup les deux autres arrivent et commencent à vouloir nous enculer. Je refuse…

-        elle est trop grosse tu vas me faire mal

-        mais non avec le cul que tu as-tu vas aimer salope

et les voilà tous les deux en train de nous enculer pendant que les deux blacks nous baisent.

Putain comment on prend notre pied toutes les deux… on hurle de plaisir

-        encore encoreeeeeeee

-        ouiiiiiiiii plus fort

-        ouiii

-        encore

Là nous sommes vraiment deux grosses salopes, deux grosses chiennes, on se fait bourrer comme des putes.

Ils nous défoncent pendant un long moment en nous traitant de tous les noms possibles.

-        plus elles sont grosses plus elles aiment le cul les salopes

-        ça c’est sur, comment j aime l’enculer la grosse, elle a un cul, c est un vrai garage à bites…

-        hummmm ouiiiiiiiiiiii (dit elle)

-        au lieu de parler, défoncez nous les mecs, vous avez deux grosses chiennes qui n’attendent que ça alors allez y inondez nous

Puis ils nous font mettre à genoux l’une à coté de l autre et nos quatre hommes se branlent sur nous… devant nos yeux quatre bites énormes qui vont nous asperger de sperme.

 

 

-        je veux gicler sur tes seins de grosse pute

-        moi dans ta bouche

-        moi aussi

-        moi je m en fous du moment qu’elle me pompe, on ne va pas leur demander leur avis

Et d’un seul coup ils se mettent tous à jouir nous inondant toutes les deux de leur foutre chaud. Leur sperme nous arrive au visage de tout part, ça coule partout, putain qu’est ce que c’est bon. Nous jouissons toutes les deux comme deux folles.

Ils se rhabillent tous les quatre et nous demandent de dégager.

-        tirez vous les deux truies

-        vite on n’a pas que ça à faire

Le temps de nous rhabiller, de nous essuyer le visage et nous quittons la cabane heureuses de ce qui vient de se passer. Nous partons en direction du café pour prendre un verre et aussi pour nous laver les mains avant de nous quitter.

Nous papotons encore quelques minutes de ce qui c’est passé cet après midi, elle et moi sommes très contentes et ne regrettons rien de ce que nous avons fait, elle me confie qu’elle a souvent rêvé de ce genre de situation mais sans jamais penser que ça pourrait se produire un jour, elle me remercie de lui avoir permis de vivre cela.

-        quand je vais raconter ça à mon amant il va être comme un fou

-        moi aussi, quand Marc va le savoir il va encore me dire que je suis une grosse salope mais il ne sera pas étonné

-        moi si, car jamais je pense il n’imaginera que je puisse faire ce genre de chose

Avant de nous séparer et nous convenons de nous revoir très prochainement pour faire l’amour que toute les deux. Il est déjà 17h30 et il est temps de rentrer chez nous.

Nous allons toutes les deux vers le métro, arrive le moment de la séparation, nous nous embrassons.

Elle part de son coté et moi du mien satisfaite et encore trempée de tout ce qui vient de se passer. J’ai hâte de te téléphoner mon amour pour tout te dire.

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Fantasme
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Lundi 21 juillet 1 21 /07 /Juil 01:07

Les magasins

 

Il est 14h30, encore toute émoustillée par ce qui vient de m’arriver, je regarde les vitrines sans trop savoir ce que je cherche et sans prêter attention aux gens qui m’entourent.

J’arrive vers un grand magasin dans lequel je m’engouffre, il y a plein de monde…

Je regarde le plan afin de repérer les endroits ou je vais aller sans avoir à trop chercher.

Première étape le rayon lingerie, ça tombe bien il est au même niveau ou je me trouve.

Tout en regardant les dessous, je vois en face de moi une femme aux formes généreuses qui visiblement hésite quant au choix de dessous relativement sexy.

Je m’approche d’elle en la regardant bien, elle a une longue jupe fendue sur les cotés, avec un grand chemisier vaporeux sous lequel se cache une forte poitrine et des petites chaussures.

A mon tour je regarde les ensembles près de cette femme et de temps en temps je tourne la tête vers elle. Je la trouve sexy, j’aime ce genre de femme et je sens un certain désir m’envahir. Et puis elle engage la conversation :

-        je ne sais pas pour vous mais moi j’ai toujours un mal fou à choisir, tout me plait 

-        moi c’est pareil, si je m’écoutais j’achèterais tout le rayon

Elle rit en rajoutant

-        je suis pareille, est ce que je peux vous demander un conseil ?

-        bien sur

-        voilà, j’hésite entre ces eux ensembles mais je ne sais lequel prendre

-        prenez les deux

-        non ce n est pas possible car je voudrais aussi prendre une guêpière, je sais que mon amant va adorer

-        j’aime bien le blanc que vous tenez dans votre main droite, il est sexy et classe en même temps, il devrait plaire à votre amant.

-        Ce n’est pas spécialement pour lui mais je vais aller l’essayer afin de voir sur moi ce que ça donne.

Durant toute cette conversation je ne pouvais détacher mon regard de sa poitrine, j’imaginais de gros seins lourds et très réactifs que je me plairais à embrasser, je pense qu’elle l’a remarqué. Elle prend les deux ensembles et se dirige vers la cabine d’essayage.

Si jamais je pouvais les voir pendant qu’elle se change… alors je prends un ensemble au hasard et je suis la femme.

J’arrive aux cabines d’essayage, et je repère celle ou elle se trouve. En passant je regarde si par hasard je ne peux pas voir par l’entrebâillement du rideau. En effet je peux la voir mais elle tourne le dos à la porte et est face au miroir les seins à l’air, mais je ne peux encore les voir, en culotte, elle  passe le soutien gorge et je peux enfin mieux voir sa poitrine, elle est comme je l’imaginais. Je rentre à mon tour dans la cabine voisine et tout en me déshabillant j’épie le moindre de ses gestes, j’écoute, tiens là elle enlève sa culotte sûrement pour essayer l’autre, je sens en moi le désir monter. Je mouille, je me touche, je gémis…

J’essaie tout de même ce que j ai pris et je ressors de la cabine, elle est toujours à l’intérieur, en train de se rhabiller.

Je me dirige vers les guépîeres et j’attends qu’elle vienne vers moi. Je la vois arriver.

-        alors cet ensemble ?

-        il me va très bien, il tient bien mes seins et la culotte est très sexy avec toutes ces dentelles.

-        J’imagine bien (dis je en repensant à ce que j’ai aperçu, et je mouille de plus belle)

-        Vous aussi vous cherchez une guêpière ?

-        Oui, mon amant aime bien me voir dedans et moi aussi, j’en cherche une très sexy pour nos petits jeux et nos soirées un peu chaudes.

Je remarque dans son regard, qu’elle aime ma façon de parler et visiblement elle est dans le même cas que moi et une complicité s’installe. Elle me raconte que son mari ne s’intéresse plus à elle et qu’elle revit depuis qu’elle a un amant, elle ne pouvait pas mieux tomber car je sais vraiment de quoi elle parle et je lui explique un peu pour moi comment les choses se passent dans les grandes lignes.

Nous regardons les guêpières ensembles et nous donnons nos avis respectifs. J’arrête mon choix sur une blanche tout en dentelle transparente au niveau des seins et elle en choisit une rouge un peu dans le même style que la mienne.

Nous nous dirigeons vers les cabines d’essayages. Arrivées devant les cabines, je lui propose de partager la même comme ça on pourra s’aider mutuellement pour l’attacher. Elle accepte.

Nous entrons dans la cabine, elle se déshabille. Enfin je vais pouvoir la regarder de plus près, je vais voir ses seins et qui sait peut être les toucher. Je profite qu’elle enlève ses vêtements pour faire de même.

Je suis en porte jarretelles, elle enlève tout ce qu’elle a sur elle. Elle est nue devant moi. Je mouille de plus en plus je la désire, elle est belle, elle est grosse, elle a tout ce que j’aime. Nous sommes face a face, nos seins se touchent presque, je les regarde, j ai très envie de les toucher de les embrasser, elle regarde les miens. Ils pointent, j’ai les tétons tellement durs qu’ils me font mal.

-        tu as beaux seins (me dit elle)

-        merci toi aussi, j’ai très envie de les toucher

-        ne te gênes pas, j’ai très envie de toucher les tiens aussi.

Je pose mes mains sur ses seins et je commence à les caresser délicatement, elle fait la même chose, ses seins sont doux, lisses, et ils se tendent sous mes caresses…

Je m’approche et je pose ma bouche sur sa poitrine et je commence à les embrasser, je l’entends gémir tout doucement, il n’en fallait pas plus pour me faire couler. Elle passe sa main dans mes cheveux délicatement et me caresse la tête.

Je pose une main sur sa cuisse et la remonte le long, je la passe sur ses fesses, elle a un gros cul comme je les aime, je le caresse avant de faire revenir ma main entre ses cuisses.

Mes doigts arrivent au niveau de sa chatte, elle n’est pas totalement épilée mais elle est douce et chaude. Je sens au bout de mes doigts qu’elle mouille, ça m’excite de plus en plus, elle se laisse faire. Je remonte ma bouche le long de sa poitrine la pose contre la sienne, nous nous embrassons.

Nous sommes collées l’une à l’autre, nos seins sont plaqués et nous bougeons en nous embrassons. Je sens sa main dans mon dos, elle descend en direction de mon cul, passe entre mes fesses et elle la dirige à son tour sur ma chatte… j’inonde, tout comme elle…

Là dans l’angle de la cabine, il y a un petit tabouret, je la fais assoire et je me mets à genoux devant elle, je lui écarte les jambes et commence à la lécher.

Elle m’arrête.

-        on ne va pas faire ça ici dans la cabine ?

-        pourquoi tu n’en as pas envie ?

-        si bien au contraire mais on pourrait nous surprendre

-        il n’y a presque personne dans le magasin et encore moins dans les cabines et puis le risque augmente l’excitation.

Et je joins le geste à la parole, je recommence à la lécher, j’écarte ses lèvres avec mes doigts et je passe ma langue sur le clito, elle gémit de plus en plus. J’en profite pour me toucher. Je suis grave ouverte.

Elle m’arrête d’un seul coup et me dit :

-        chut il y a des gens qui sont rentrés.

En effet, nous entendons parler, un homme et une femme. La femme rentre dans une cabine et on entend l’homme faire les cents pas au milieu. Il s’arrête. Je remarque par-dessous le rideau qu’il est là devant notre cabine. Je recommence à la lécher, elle écarte encore plus les jambes, la situation l’excite car je lui ai fait remarquer qu’il était là. Pendant qu’elle ne regardait pas je fais en sorte que le rideau s’ouvre légèrement afin qu’il puisse nous mater, ce qu’il fait car je le vois dans le miroir.

Il ouvre grand les yeux quand il voit deux femmes nues, en train de se donner du plaisir. Je lui bouffe la chatte comme une folle. Je la fais jouir en lui bouffant le clito. Maintenant c’est elle qui me fait assoire sur le tabouret et elle se met à son tour entre mes cuisses pour me lécher. Je vois l’homme nous regarder, je le fixe je vois qu’il est excité et qu’il bande, ça me fait décoller grave, sa femme sort il s’en va. Je jouis…

Nous passons à nos essayages toutes les deux ravies par ce qui vient de se passer. Nos discutions reprennent et nous échangeons nos idées, sur les hommes, sur les femmes…

Nous retournons dans les rayons du magasin en parlant.

Je lui raconte ce qui c’est passé dans la cabane de chantier, je vois que ça l’excite énormément, elle me demande des détails. Je lui donne sans hésitation je lui explique tout dans les moindre détails et là elle me dit qu’elle a envie de se caresser car tout ça l’excite encore plus alors nous retournons dans une cabine et nous recommençons à nous caresser mutuellement et à nous lécher, nous jouissons comme deux salopes. Elle me dit qu’elle aimerait bien que ça lui arrive mais qu’elle n’aurait pas le courage de faire la même chose que moi. Ça me donne une idée mais pour le moment je la garde pour moi, je la fantasme.

Elle est aussi folle que moi et a les même envies…

Nous décidons de continuer nos courses ensemble…

Nous faisons le tour du magasin et nous ne loupons pas une occasion pour aller ensemble dans une cabine et nous nous touchons, nous jouissons plusieurs fois durant l’heure que nous passons ensemble. Elle doit partir, nous échangeons nos numéros de téléphone et là je lui demande si elle est venue en voiture ou en transport en commun.

-        je suis venue en métro car je n aime pas rouler dans paris

-        moi aussi

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Fantasme
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Lundi 21 juillet 1 21 /07 /Juil 00:46

Le déjeuner

 

Il est maintenant 12h30 je suis sur le boulevard et j’ai un peu faim, alors je décide d’aller manger un morceau dans un café.

Je prends le premier que je trouve, je rentre, il y a beaucoup de monde en train de manger. Le serveur qui m’accueille me place à  une table toute seule à coté de deux mecs. Ce sont des ouvriers en cote de travail, ils parlent et ne prêtent pas plus que ça attention à moi.

Je demande au serveur où sont les toilettes car je veux aller me laver les mains après ce petit séjour dans le métro. Je pose mes affaires sur la banquette et je vais aux toilettes faire ce que j’ai à faire.

Je reviens à ma table mais pour m’assoire il faut que je passe entre les deux tables. Je m’excuse de les déranger et je me glisse entre les deux tables alors que ma jupe remonte, laissant deviner la dentelle de mes bas ainsi que la jarretelle jusqu à la banquette où je me pose tranquillement.

Je lis la carte pour savoir quoi prendre et je ne prête pas attention aux deux mecs près de moi, jusqu’au moment ou :

-        eh bien ma p’tite dame, nous vous souhaitons un bon appétit.

-        Merci 

-        Avec plaisir, mais que fait une charmante dame toute seule au restaurant ?

-        Je ne suis pas toute seule vous êtes là… (dis je avec le sourire)

Je vois dans le regard de ces hommes que je ne les laisse pas insensible…normal après ce qu’ils ont pu voir.

Ma salade arrive, et je commence à manger, tout en remarquant qu’ils me regardent de plus en plus, et voilà mon excitation qui revient en force, je sens ma chatte s’ouvrir et mouiller grave. Ils tentent de mieux voir comment je suis habillée. Déjà qu’ils ont une vue sur mes seins assez sympathique je vais leur laisser voir ce qui se passe en bas.

J’enlève la serviette qui est sur mes cuisses pour que celui qui est a coté de moi puissent voir mes bas et deviner ta chatte pour l’autre

-        Vous ne prenez pas de dessert ?? (me demande l un d eux)

-        Non il n y a pas ce que je veux sur la carte.

-        Nous pouvons donc vous offrir un café alors ?

-        Avec plaisir J

Les deux hommes ne loupent pas une miette du spectacle qui s’offre à eux.

-        vous venez faire quoi dans le quartier ?

-        je viens faire quelques courses, du lèche vitrine, vous travaillez dans le coin ?

-        oui nous sommes sur un chantier dans la ruelle d’à coté, on en a assez de manger dans la roulotte de chantier alors on vient de temps en temps ici le midi et on ne regrette vraiment pas aujourd’hui…

-        elle est si triste que ça votre cabane ?

-        oh que oui… en plus dans cette ruelle, c est calme, personne ne passe, c’est a mourir mais bon on finit bientôt, c est pas plus mal comme ça.

-        Ah d’accord, je ne sais pas du tout à quoi peut ressembler une cabane de chantier, j’en vois de temps en temps quand je circule mais je n ai jamais vu l’intérieur, je pensais que c’était aménagée avec un minimum de confort.

-        Ben non, mais venez donc la visiter si vous le souhaiter

-        Heuu… peut être que je passerais si j ai le temps tout à l heure après mes courses. Je vous remercie.

-        Bon, nous devons y retourner, bonne journée m’dame.

-        Merci vous aussi.

Ils se lèvent tous les deux et partent, mais j’ai bien pris le soin de leur montrer ma chatte discrètement. (Comme vous me le faites faire quand nous sommes ensemble)

Je règle ce que je dois et je quitte à mon tour le restaurant en direction des magasins qui se trouvent à proximité, ce petit repas m’a bien excité une fois de plus je pense que mon après midi va être super… tout en marchant je ne sais pas pourquoi mais je ne peux m’empêcher de penser à la cabane de chantier, et à ses deux occupants… (Je n’ai jamais baisé dans une cabane de chantier)

Pour me rendre aux boutiques ou je désire aller, je croise la fameuse ruelle en question et je tourne la tête en direction de la roulotte que j’aperçois au loin, en effet elle est plus que calme cette ruelle et je continue mon chemin… malgré tout très excitée…

Après quelques pas, je décide tout de même d’y aller…

Je rentre dans la ruelle, elle est étroite et peu de voitures doivent y passer, il y a de vieux immeubles de part et d autre de la rue, elle est calme, je ne me croyais même plus à Paris

Je continue d’avancer dans la ruelle, je sens mon cœur battre de plus en plus fort, je  voudrais faire demi tour mais mon envie est plus forte alors je continue sans savoir ou je vais ni ce qui va se passer.

J’arrive à coté de la cabane en question, la porte est ouverte mais j’entends les ouvriers parler un peu plus loin sur le chantier. Je les écoute et je comprends qu’ils parlent de moi, de ce qu’ils ont vu ce midi au restaurant.

-        putain !!! t’as vu cette salope tout de même, celle là elle aime le cul ça se voit

-        oh que oui, minijupe, des bas, j’étais assis à coté d elle j ai bien vu… et elle a des nichons putain comment je les boufferais bien

-        et encore t as pas vu qu’elle n avait rien sous sa jupe, la chatte à l’air, elle écartait les jambes de temps en temps c’est comme ça que j ai vu, elle m’a filé la gaule cette pute.

-        Moi aussi la saloooooooppppeeeee !!!!

Est-ce la peur ou le désir mais j’ai envie de pisser alors je me mets derrière la cabane et je pisse…tout en les écoutant,

-        Je te jure si elle vient voir la cabane je vais te la baiser et l’enculer d’une force !!!

-        Ok et moi je me ferais pomper par cette pute en chaleur

 Ça m’excite encore plus je commence à me toucher.

J’aurais envie d’aller vers eux mais je n’y arrives pas alors avant de reprendre mon chemin je veux tout de même voir comment est l’intérieur de cette cabane.

Je me dirige vers la porte, je penche la tête, personne, je monte les deux petites marches et je rentre dedans. Une cabane austère avec une table et deux chaises. Il y a là les fringues des deux ouvriers, ceux qu’ils doivent porter après leur journée de travail et accrocher sur les cotés des posters de femmes à poils, c’est bien un univers de mecs.

Je les entends toujours parler de moi…

-        putain je me ferais bien sucer, elle m’a trop excité cette salope

-        t’as raison moi aussi je me viderais bien les couilles dans son gros cul

Je suis en feu, ce qu’ils disent sur moi m’excite au plus haut point et je décide de me caresser en les écoutant parler de moi comme une salope, comme une pute. Je les entends dire qu’ils aimeraient bien prendre mon gros cul, je me caresse de plus en plus…

Je suis sur un nuage, la situation et le lieu me mettent dans un état grave…je plane…

Je jouis comme une malade… et là je réalise que je ne les entends plus. Auraient ils pris connaissance de ma présence dans leur cabane ?? Un peu d’angoisse me prend

Je remets mes vêtements correctement et rapidement avant qu’ils n’arrivent et je vais repartir.

Je me dirige vers la porte de la cabane, je commence à descendre la première marche et là sans rien comprendre je me retrouve sur le cul au fond de la roulotte projetée par une main solide. Je vois dans l’encadrement de la porte les deux ouvriers là devant moi en train de se caresser par-dessus leur pantalon.

-        Alors sale pute, on vient se toucher chez nous et on repart sans rien dire ?

Dit celui qui m’a repoussé au fond de la cabane en sortant sa bite de son pantalon. Une grosse queue bien raide, large et toute gonflée.

Là je réalise qu’ils ont du me voir, me regarder et m’entendre jouir mais depuis quand sont ils là… (Du coup je me remets à mouiller)

-        Laissez moi !!!

-        Tu ne crois pas que tu vas t’en tirer comme ça, une chaudasse comme toi, ne peut pas partir sans nous faire une petite gâterie.

-        Non laissez moi partir (et je tente de forcer le passage mais sans grande conviction)

Et là un des deux m’attrapes en mettant sa main sur la bouche, me traîne au fond de la cabane et me penche en avant en direction de la bite de son pote. Je me débats mais je ne fais pas le poids…J’en rêvais, je n’attendais que ça, alors je décide d’être docile et de pomper ces deux mecs de leur donner ce qu’ils attendent de moi…

Déjà penchée pour sucer le premier qui a la bite face à ma bouche je commence à le pomper, mais sa bite est tellement grosse que j ai du mal à la prendre complètement mais il pousse,  j’ai donc le cul en arrière offerte (comme vous aimez mes amours) et là je sens une grosse bite me prendre sans ménagement, il me défonce sans vergogne la chatte et le cul pendant que l autre me défonce la bouche à en vomir, mais quel pied je prends.

Je ne sais pas comment elle est, mais elle me déchire et je la sens passer dans tous mes trous.

-        regardes comme elle aime ça cette grosse pute, je te l’avais dit

-        t’as raison en plus elle suce bien, défonces lui son gros cul

-        je fais que ça, il est aussi ouvert que sa chatte (meugle t il)

-        putain c’est une sacré salope celle là

-        elle veut de la queue elle va en avoir…

-        on t’a vu pisser et te toucher en même temps salope, tu te caresses quand tu pisses toi t’es vraiment une grosse truie…

-        oui je me caresse en pissant, oui je suis une salope, oui je suis une truie mais c’est ce que vous voulez alors défoncez moi bordel !!!

-        regardes comment elle prend son pied cette pute !!

-        ouiiiiii je prends mon pied, encore….

Les deux hommes continuent de me défoncer par tous les trous…avec une telle violence que la tête m’en tourne mais qu’est ce que c’est bon.

L’homme que je suce me tient par les cheveux et rythme la cadence en bougeant ma tête avec force pendant que l’autre me frappe les fesses en me prenant…. Tous deux m’insultent de plus en plus, j’aime…

Et d’un seul coup je les sens prêt à jouir presque ensemble, le premier va m’inonder la bouche de son foutre chaud en braillant

-        avale sale pute !!!!

Et l’autre de dire

-        je vais lui en coller plein son gros cul à cette truie !!!

Je sens les deux compères gicler en moi, je suis aux anges…Je jouis comme une folle…

Leur affaire faite, ils se rhabillent, me tirent par les cheveux et me virent de la cabane à moitie nue en me disant :

-        casses toi salope et si tu as envie de reprendre un coup dans le cul tu peux toujours revenir !!!

La bouche pleine de sperme, et je me retrouve au beau milieu de la ruelle comme ça…

Je remets mes vêtements correctement et je repars vers les magasins, contente et fier de moi.

Je marche en repensant à ces deux hommes rustres qui m’ont comblé et qui m’ont fait jouir comme une malade.

Cette journée se passe vraiment très bien pour le moment.

-        que peut il se passer encore ??

Voilà la question que je me pose en marchant…

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Fantasme
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Vendredi 18 juillet 5 18 /07 /Juil 09:02

Mon chérie, mon Maître, si je vous écris c’est pour vous raconter ma journée afin que vous soyez fiers de moi et que vous puissiez vous rendre compte à quel point votre petite pute est bien à la hauteur  de vos attentes.

J’espère que vous serez satisfaits de moi.

Je peux d’ores et déjà vous dire que j’ai passé  une excellente journée. 

Je vous aime.

Votre petite salope

Le voyage

Il est 11 heures je ne travaille pas car j’ai pris une journée de repos pour m’occuper de moi et pour aller faire les magasins.
Dehors il fait beau, le soleil brille et la température est sympa.Après avoir pris ma douche je décide de m’habiller sexy comme j’aime le faire, je mets une petite jupe blanche très courte avec un chemisier noir, qui s’ouvre devant et qui est légèrement transparent sur un soutien gorge blanc qui laisse mes seins sortir, le porte jarretelles assorti, des bas beige et des petites chaussures.Un peu de parfum et me voilà prête pour aller me promener.Je pars de chez moi, je me dirige vers la voiture que déjà je croise des regards intéressés et remplit de désir et d’envie, je les remarque mais je ne m’y arrête pas malgré qu’ils m’excitent.
Une fois en voiture je cherche ou aller me promener…
Là me vient une idée : « si j’allais à Paris ??? »
Je roule don en direction de la capitale, mais pendant que j’avance, je me dis que je vais me faire chier à me garer, que je vais me perdre, donc je prends la décision d’y aller en transport en commun.
Je vais donc jusque Villepinte ou je sais que je vais pouvoir laisser ma voiture en toute tranquillité pour le reste de la journée.
Me voilà arrivée sur le parking, je me gare et me dirige en direction de la gare pour aller prendre mon RER.
Je croise quelques personnes au regard insistant vers ma personne, je bouge mon cul, telle une petite pute, en marchant l’excitation commence à monter tout doucement.
Je suis sur le quai et j’attends en marchant de ci de là…Je remarque un jeune homme d’environ 20 ans qui me matte à quelques mètres de moi. Je ne peux pas le louper car il n’y a que nous deux sur le quai.
Je ne le regarde pas plus que ça, mais je fais tout pour qu’il continue de me regarder, je laisse tomber mon ticket et je me baisse pour le ramasser en faisant en sorte de lui tourner le dos afin qu’il puisse avoir une vue directe sur ta croupe…je me relève, me retourne dans sa direction, il regarde tout de suite ailleurs l’air gêné.

Le RER arrive….

Je monte dans le wagon, je m’installe sur un siège  à coté de la fenêtre, en diagonale du jeune homme sur la banquette opposée.

La rame ne compte que 6 ou 7 personnes mais toutes face à moi car je me suis mise au fond du wagon de sorte que personne ne puisse être derrière moi.

Assise, la jupe remontant on peut voir la dentelle de mes bas, ce qui n’échappe pas à notre jeune homme…

Le RER redémarre…

Je croise les jambes afin qu’il puisse mieux voir ce qui se passe et je les décroise, je joue avec mes jambes afin de capter son regard de façon permanente. Et ça marche…

Je le fixe, je ne lui dis rien, juste un petit sourire de temps en temps mais je remarque le trouble qui l’envahit.

Puis je te téléphone et je te raconte ce qui se passe et ce que j’ai décidé de faire de ma journée à savoir les magasins. Nous parlons et au cours de la discussion tu me demandes de me caresser ce que je fais sans hésitation.

J’écarte les jambes afin de pouvoir poser ma main plus facilement sur ma chatte déjà trempée.

Le jeune homme n’en croit pas ses yeux, là pour le coup il ne me lâche plus du regard tout comme moi je le fixe.

Je vois son pantalon se tendre et ça m’excite encore plus.

Je pose la jambe qui est coté fenêtre sur la banquette en face de moi en écartant bien l autre afin de lui faire profiter encore plus de ce spectacle.

Je ne dis rien, je ne fais pas d’autres gestes que celui de me caresser, je le laisse regarder et faire ce qu’il pourrait avoir envie de faire… à lui de prendre l’initiative maintenant.

La journée s’annonce chaude, j’ai tout le temps de profiter…

Le RER ralenti, il arrive à la prochaine station, le jeune homme se lève et se dirige vers les portes.

Il est debout et me fixe, j’ai les jambes bien écartées et il voit ma chatte ouverte, luisante…

Le métro s’arrête et il descend en laissant échapper un sourire.

Hummmm ça commence bien…

Là à la station des gens montent et s’installent... le RER redémarre…

En face de moi s’est installée une femme et son gamin, sur ma gauche un homme d’une cinquantaine d’années, tout redevient calme.

Mais je remarque tout de même que l’homme qui est assis à mes cotés regarde mes cuisses et matte dans mon décolleté discrètement.

Le métro avance, et nous sommes un peu secoué, ce qui a pour effet que l’homme touche ma cuisse avec la sienne à chaque secousse. Il n’en faut pas plus pour m’exciter de nouveau.

Il a sa sacoche sur les cuisses et il la tient de chaque cotés.

Je ne sais pas si il le fait exprès mais je sens sa main de temps en temps le long de ma cuisse au rythme des mouvements de la rame.

Je bouge sur mon siège comme pour mieux m’assoire mais en fait je me rapproche de lui.

Le métro s’arrête et la femme descend, il n y a plus que lui et moi  sur la banquette et personne sur celle d’à coté.

Il redémarre…

L’homme regarde mes cuisses plus précisément maintenant, je croise les jambes afin de faire remonter ma jupe et ce qui laisse voir la naissance de mes bas. Je le vois bouger, il croise les jambes et bouge sa sacoche, il me semble deviner une certaine excitation chez lui.

Il fait tomber quelque chose de sa main entre nous deux, il la glisse pour aller chercher ce qui lui a échappé en s’excusant …Je ne bouge pas je le laisse faire, car je sens sa main contre ma cuisse.

Il met du temps a trouver ce qu’il cherche… Je sens bien qu’il profite de la situation pour me toucher ce qui n’est pas pour me déplaire mais il n’ose pas aller plus loin, je le laisse faire.

Le métro prend un virage et nous fait beaucoup bouger, sa sacoche vient cogner contre mes bas et les touche. Je regarde en espérant qu’il ne soit pas filé.

Et merde !!!…Mon bas est filé, je jette un regard un peu sombre à l’homme qui se confond en excuses, et je lui dis, ça va pour cette fois mais si vous recommencez je serais obligée de vous punir avec un grand sourire.

Je décide donc de le changer, je poses mon pied sur le siège d’en face, je détache la jarretelle et enlèves mon bas.

J’enfile l autre délicatement, en prenant bien soin de remonter ma jupe pour le rattacher.

L’homme bouge de plus en plus, il ne m’a pas quitté du regard pendant tout ce temps et je devine de l’excitation chez lui, mais je n’en suis pas sure, alors je veux vérifier.

Pour se faire je me tourne vers lui et je passe ma main sous sa sacoche il me regarde stupéfait par tant d’audace et je la dirige vers son entre cuisse, et là je tombe sur sa queue (visiblement il a une belle queue, pas très grosse mais longue) que je sens toute raide.

Il ne dit rien et se laisse faire, un peu gêné, il regarde partout si quelqu’un nous voit…

Je le caresse lentement, et j’accélère le mouvement, j’entends sa respiration s’accélérer…

Je le branle de plus en plus fort et très rapidement je sens sa queue gonfler, je sens qu’il va jouir alors je n’arrête pas, il ne bouge pas, il rougit ce qui m’excite encore plus.

Et puis d’un seul coup je sens l’homme se contracter et là je comprends qu’il va jouir et ça devient très chaud sous ma main, je ne me trompes pas il a jouit dans son pantalon…

Le métro arrive à une station, l’homme se lève sans dire un mot prend bien soin de conserver sa sacoche devant lui et s’en va sans un regard… Et je me retrouve encore toute seule.

La rame se vide presque, il ne me reste que deux stations avant d’arriver à destination, et est monté dans le wagon un clochard, il n’y a plus que lui et moi. Il est debout près de la porte en diagonal je le vois bien, il me jette un regard pervers et je lis dans ses yeux qu’il a envie de quelque chose. Je  re serres les cuisses…

L’insistance de son regard me met mal à l’aise et m’inquiète mais je n’arrive pas à dégager le mien de lui…

Il met sa main dans son pantalon et il commence à se toucher. Il sort sa queue de son pantalon crade en me regardant, une bite énorme, violacée  par tant de désir… je n’arrive pas à détacher mon regard de se sexe tendu et gonflé. Une si belle queue sur un être pareil !!! je la veux… si ce n était pas un clochard je serais déjà à genoux en train de la pomper comme une pute.Vous seriez contents mes amours car il me fait mouiller autant qu’il me fait peur.Je regardes partout dans le wagon mais il n y a que lui et moi.

Il se branle de plus en plus fort, ça m’excite grave je me remets à mouiller et sans vraiment contrôler ce que je fais, j’écarte les cuisses et je me caresse devant lui, je me caresse devant ce clochard qui n’en peut plus. Je sais que j’ai peu de temps car je vais arriver à destination, mais que m’arrive t il ? Je jouis comme une folle devant cet être abjecte.

Le métro va arriver à la station alors je me lève et je me dirige vers lui comme attirée par un aimant par cette putain de bite énorme comme je les aime, je n’en peux plus, j’ai trop envie de la toucher malgré que ça me dégoûte.

Mais mon envie est tellement forte que je ne peux m’en empêcher alors je la prends ma main et je commence à le branler. Il pose ses sales mains sur moi me caresse le cul putain que j’aimerais la sentir dans mon cul je me dis et en très peu de temps il crache son foutre là par terre dans le métro.

Le métro ralenti, et s’arrête, je suis arrivée je descends en laissant le clochard la bite à l air le regard médusé par ce qui vient de se passer et moi je suis trempée.

 

Je sors du métro…

A suivre .../...

 

 

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Fantasme
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