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Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 10:37

Encore un texte très excitant qui nous a été envoyé par T. je m'excuse auprès de lui de ne pas l'avoir publié plus tôt.

Maitresse Shalimar


Il est 20 H 15, et mon avion vient d'atterrir à l'aéroport de Brest. Je me dépêche d'attraper ma voiture de location pour filer à mon hôtel. Je suis oppressé, voire un peu stressé, car j'ai rendez-vous avec Maitresse Shalimar à 21 H, et je n'aimerais pas être en retard.

J'ai pris rendez-vous avec Maitresse sur un site de rencontre. Nous avons eu peu d'échanges par mail. Elle se présente comme une Maitresse expérimentée, et c'est bien ce qui m'a attiré, car je commence à avoir une petite expérience dans la soumission.

20 h 30, j'arrive à mon hôtel, prends une douche. Je veux être présentable intégralement. Je mets une belle chemise pour faire bonne impression, et je monte dans ma voiture. Je suis très excité à l'idée de cette nouvelle rencontre, et je fantasme sur la soirée que je vais passer. Un léger parfum d'inquiétude flotte, j'ai peur d'être déçu. Le GPS me conduit à l'adresse indiquée, et j'appelle Maitresse. Elle me donne des renseignements pour trouver sa porte d'entrée, mais dans le stress, je me trompe et dois la rappeler pour qu'elle me redonne les indications. Cela commence bien !!!

Enfin, je sonne à la porte. Maitresse ouvre sa porte sur un univers feutré. Les lumières tamisées font apparaitre une pièce où il fait de suite bon vivre, en noir et blanc. Un canapé en cuir blanc trône dans le salon, devant un superbe tapis douillet où il fera bon se faire fouetter, c'est du moins ce que j'espère.

Maitresse est habillée dans une superbe robe noire, ses jambes sont gainées de bas noirs, avec des escarpins assortis. Elle tente de me rassurer, car elle a senti d'emblée mon stress.

«  Tu es à l'heure, c'est bien »  me lance-t-elle.

« Tu te demandes pourquoi tu es là, si tu es bien normal de venir te perdre entre mes griffes » continue-t-elle.

Je reste muet et hoche la tête. Ma timidité prends le pas, comme souvent lors de ces premiers rendez-vous.

« Déshabille toi, et plus vite que ça ! »

Ouf, c'est parti ! Je n'ai plus à réfléchir, mais à obéir. Et c'est bien ce que je suis venu chercher. Obéir, me soumettre, arrêter de penser. Merci Maitresse.

Maitresse me prend par l'oreille et m'amène au centre de la pièce.

« Elle te plait ta Maitresse ? »

« A quatre pattes, et viens lécher les pieds de ta Maitresse »

Sentant ma grande timidité, Maitresse me bande les yeux d'un foulard.

Quel bonheur de vous lécher les pieds Maitresse, de faire briller vos escarpins, de sucer vos talons aiguilles. Je commence à me détendre, mais psychologiquement uniquement, car pour le reste, cela se tend. En bref, je bande !

« Remontes, lèche mes jambes, allez, continue à remonter ».

Je n'ose pas remonter trop haut, je n'ose pas regarder la lisière de vos bas, mais vous m'emmenez jusqu'à la partie de vos cuisses qui est à nue. L'excitation me gagne, mais je n'ose pas aller trop vite.

« Cambres toi ! »

Maitresse vient de se lever, et ma première fessée débute. Vos mains sont petites, Maitresse, mais je sens bien mes fesses rougir. Les coups s'abattent avec régularité, tel un métronome, et mes fesses commencent à bruler. C'est bon, et cela ne fait qu'augmenter mon érection. Puis c'est le martinet qui entre en action, qui me brule les cuisses et les fesses, mais également mes parties intimes et mon anus. Qu'est ce que j'aimerai pouvoir voir mes fesses dans la glace !

Pour me permettre de me remettre de ces premières émotions, Maitresse se fait plus câline. Elle me demande à nouveau de lui lécher les pieds, et de remonter jusqu'en haut de ses cuisses.

« Lèche, mon bon chien, lèche ta Maitresse »

Elle écarte les cuisses et m'offre son intimité. Je commence par me délecter de son odeur, et il ne fait aucun doute qu'elle prend du plaisir. Puis je sors ma langue et lape littéralement son minou. Elle ondule du bassin et profite du moment. Et je bande.

Puis elle se retourne, et offre son anus à ma langue. Quel bonheur, je darde ma langue, je l'enfonce au plus profond de son intimité. Je suis son gros toutou, et je crois qu'elle aime.

Maitresse évite de se laisser aller, se redresse et m'ordonne de me remettre à quatre pattes. Puis je l'entends changer de pièce, fouiller dans un sac et elle revient derrière moi.

Une sensation de froid me pénètre le fondement. Maitresse, d'un doigt ganté, commence à enduire mon petit trou de gel.

« Mais ça rentre comme dans du beurre ! Tu n'es vraiment qu'une chienne » me lance-t-elle.

Je sens les doigts entrer et sortir, et je tortille du cul pour augmenter les sensations. J'aime sentir mon anus s'élargir, et je commence à mouiller. Un doigt, 2 doigts, 3 doigts, je ne peux plus compter, le suis au bord de la jouissance.

« Cambre toi mieux que cela, pose ta tête à terre et laisse toi aller »

Maitresse reprends sa dilation anale. Je commence à avoir mal, mais ne suis-je pas venu ici dans cette intention : jouir dans la souffrance.

« Donnes moi ta main, petite chienne ».

Maitresse attire ma main vers elle avec sa main libre, mon cul toujours envahi par ses doigts.

« Regarde, j'ai entré ma main en entier dans ton cul ! » Et elle me fait toucher son avant bras, qui sors de mon cul.

Quel pied, pour la première fois en 5 années de soumission, je viens d'être fisté.

Merci, grand merci Maitresse !

Après quelques va et vient, elle se décide à retirer sa main.

« Ne bouge pas ! Bon chien. Et écarte bien tes fesses avec tes mains ! »

Je suis toujours à quatre pattes, la tête sur le sol, mes mains écartent au maximum mon anus dilaté.

Je retiens in extremis un hurlement. La cire chaude vient de couler sur mes fesses rougies. Maitresse se relève, et je comprends qu'elle vient de chercher une plus grosse bougie. La cire n'en finit plus de couler, et elle se rapproche dangereusement de mon anus si sensible après ce fist réussi.

Et bien sur, Maitresse impitoyable vient d'atteindre son but. La brulure est insoutenable. J'ai l'impression que de la lave en fusion rempli mon cul, et je ne peux réprimer un mouvement de recul pour me soustraire à cette brulure.

Maitresse sent bien qu'il est tant d'arrêter. Elle se fait plus douce, et me demande à nouveau de la lécher, devant, derrière. Quel bonheur, après tant de souffrance.

Je suis un bon chien, et je lui donne tout le plaisir que je peux, et je crois qu'elle en profite vraiment.

Pour finir cette soirée en beauté, Maitresse me demande de me donner du plaisir, de jouir devant elle. Elle me torture les seins, ce qui fait grimper mon plaisir, et il ne faut pas beaucoup de va et vient pour que je jouisse sous ses yeux.


Je suis anéanti, mais heureux.

Merci Maitresse pour cette superbe soirée.

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Contributions - Communauté : Exhibition,sexe et soumission
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Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 10:21

Une semaine de février pas comme les autres


Cette fin semaine de février fut d'une richesse rare dans ma vis de soumis, et c'est un peu grâce au hasard qui a pointé le bout de son nez au bon moment.

Nous sommes Mercredi soir, il est 18 H et je pense travailler un peu tard car demain soir, je pars en déplacement à Marseille. Quelques dossiers à traiter, et je rentrerai tranquillement à la maison préparer ma valise.

Oui mais le téléphone sonne, et les dossiers vont devoir s'accumuler !

Il s'agit d'un numéro masqué mais, contrairement à toutes les dominatrices de France et de Navarre, je décide de prendre l'appel. Je reconnais immédiatement cette voix, chaleureuse, avec un fort accent slave. Il s'agit d'une personne que j'ai contactée il y a plusieurs mois sur un site de rencontre, en répondant à une annonce orientée Uro.

A ce stade de mon récit, permettez-moi une petite digression, pour ceux qui ne me connaissent pas encore bien. Et bien oui, l'uro est mon péché mignon, et je n'ai pas de meilleur souvenir de mes moult séances de domination que celles qui finirent en grosses douches dorées sur mon corps et/ou dans ma bouche.

Cette personne, appelons la Katia, se rappelle à mon bon souvenir, me demande si je cherche toujours à me faire pisser dessus. Elle habite à deux tours de roues de mon bureau, et si je suis toujours d'accord, elle m'attend dans 20 minutes.

Et que pensez-vous qu'il arriva à mes dossiers. Evidemment, mon sang ne fait qu'un tour, sa voix envoutante m'attire, et ma dernière séance uro est si loin !

J'accepte donc son invitation, range mes affaires et me précipite dans ma voiture. Je suis le GPS, trouve facilement l'adresse, mais en région parisienne, le plus difficile reste à trouver une place accueillante pour mon break. Au second tour de pâté de maison, le téléphone sonne. C'est la charmante pisseuse qui s'impatiente, et je comprendrai bientôt pourquoi.

Je trouve enfin une place, file à son adresse, l'appelle pour connaitre l'étage et le numéro de son appartement. L'excitation me gagne et je suis dans tous mes états quand, enfin, je sonne à sa porte.

Des bruits de talons résonnent nonchalamment sur un parquet, la porte s'ouvre sur une superbe blonde d'un mètre soixante dix. Elle est jeune, dans les 25 ans, mince, une silhouette de mannequin, moulée dans une petite robe ultra courte qui ne cache pas grand-chose de sa plastique.

Elle m'accueille avec un grand sourire dans son petit studio.

« Alors, c'est toi la salope qui vient pour se faire pisser dessus ! Déshabille-toi ! »

Pas grand chose à répondre, et je dois avouer que cette entrée en matière plus que directe me fait un certain effet. J'ai un peu de honte de dénuder mon corps d'homme mur devant cette gamine, mais il est trop tard pour reculer.

Elle me conduit dans la salle de bain, et m'indique la baignoire dans laquelle elle me fait signe de m'installer. C'est toujours le moment le plus désagréable, sentir la froidure du sanitaire sur son dos.

Mais les choses s'accélèrent bien vite, et la chaleur ne va tarder à grimper. D'un geste élégant et furtif, Katia retire sa robe, et se montre à moi entièrement nue. Je ne m'étais pas trompé, son corps est magnifique, mais je trouve dommage qu'elle ait cédé aux appels des plasticiens pour augmenter le volume de sa poitrine. Mais l'ensemble est très excitant. Elle caresse langoureusement sa chatte  rasée, au dessus de laquelle elle a laissé un petit filet de poils blonds, tout en me regardant dans les yeux.

Je commence à me caresser par reflexe.

« C'est ça, ma salope, masturbe toi ! ». Elle a dit ça le plus naturellement du monde, avec un petit sourire dans lequel je ne lis aucun mépris.

Elle retire ses escarpins et grimpe sur la baignoire. J'ai sa chatte nue à la hauteur de ma bouche, et je ne peux refreiner l'envie irrépressible de lécher ce fruit défendu.  

Elle se laisse faire volontiers, et je la sens s'ouvrir sous mes coups de langues.

Mais très vite, la chaleur qui me gagne n'a rien à voir avec son excitation. C'est un petit jet d'urine qui arrive dans ma bouche, que je m'empresse d'avaler. Elle a bon gout, pas fort, j'adore.

Vous savez quoi, je suis en train de bander en rédigeant ses quelques lignes.

Et là, je comprends pourquoi elle était si pressée de me voir arriver. C'est un jet continu et violent qui m'asperge. Je voudrais pouvoir déclencher le ralenti, faire des arrêts sur image pour me voir me délecter de se nectar des déesses, admirer ses jets puissants qui jaillissent de sa petite chatte. J'avale de grands jets, mais cela va trop vite et je dois me résoudre à gaspiller son champagne. Mais c'est aussi très excitant de le sentir couler sur mon corps. Et elle ne s'arrête pas, c'est véritablement merveilleux. J'avale une gorgée, le reste me coule dessus, et je recommence. Elle me dévisage de son regard ingénu tout en continuant à m'asperger.

Pendant se temps, ma main gauche n'a pas cessé d'astiquer ma queue qui tarde à jouir, tant je suis concentré à prendre le meilleur de ce que m'offre Katia.

Les jets deviennent plus légers, et je m'autorise à lécher cette chatte toute humide, d'enfoncer ma langue pour récupérer la dernière goutte de son champagne. Elle se laisse se faire gentiment jusqu'à ce que ma main gauche ait fini son office, et que je lâche ma semence sur mon ventre.

Un sourire radieux illumine mon visage, je frise le nirvana, et cela semble lui faire plaisir.

Katia prends le pommeau de douche pour se nettoyer au dessus de moi, avant de me laisser dans la baignoire en faire autant.

Je la rejoins rapidement dans sa pièce principale où je vais me rhabiller sous son regard amusé. Nous n'aurons pas échangé beaucoup de mots, mais je crois qu'elle a passé un bon moment, et moi, j'ai atteins des sommets. Merci Katia, et vive les rendez-vous improvisés.

Je rentre chez moi, heureux et détendu, mais la semaine est loin d'être fini.

Jeudi matin, avant de partir à mon boulot (je ne prendrai le départ pour Marseille que ce soir), je consulte ma messagerie personnelle, et découvre, avec un mélange de joie et de doute, une réponse de Dom Louise. J'ai répondu hier après midi à son annonce, avant de savoir comment se terminerait ma soirée avec Katia.

L'annonce était claire, une bonne fessée punitive sinon rien.

Un jour, je vous raconterai mes débuts dans la soumission, et c'est bien par la fessée que tout a commencé. Mais paradoxalement, depuis environ 4 ans que je passe de mains en mains plus ou moins sévères, je n'ai pas eu l'occasion de sentir la chaleur de mes fesses grimper sous les mains fermes d'un dominant. Alors, cette annonce ne pouvait me laisser indifférent.

Jeudi après midi, aux pieds de la gare de Lyon, j'appelle Dom Louise comme elle m'y a encouragé dans son mail. Sa voix est agréable, son discours direct et ferme. J'aime sa façon de me parler, et bien que cette rencontre tombe finalement assez mal (compte tenu de ma visite chez Katia mercredi), je ne peux qu'accepter de rencontrer cette femme devant laquelle, je le pressens, je deviendrais un petit garçon qui se fait corriger pour ses nombreuses bêtises. Dom Louise est d'ailleurs très claire au téléphone. Elle ne pratique pas le « pan pan cul cul » selon sa propre expression mais bien la fessée punitive.

Après un voyage en TGV pour me décider, nous tombons d'accord sur une fessée matinale. Dom Louise me rejoindra à l'hôtel à 7 H 30, et s'occupera de mon cas.

La nuit qui s'en suit est plus que mouvementée.

Je me réveille à 3 H en sursaut, je viens de rêver d'elle. Dans mon rêve, je la croisais à la réception de l'hôtel, en rentrant de diner avec un collègue. Sans nous connaitre, son regard me faisait comprendre que c'était elle, et mon collègue, manifestement au courant de mes penchants, me laissait seul avec elle. Ouf, ce n'est qu'un rêve.

Nouveau réveil à 5 H, après un ultime rêve de mon futur bourreau, assez proche du précédent, amis c'est avec ma famille ce coup ci.

A 6 H, je me réveille à nouveau, me prépare, et je commence à attendre, avant de m'apercevoir que j'ai une heure d'avance. Dur dur ! Encore une heure à attendre, à me faire des films et à stresser.

Dom Louise m'a demandé de la recevoir habillé, j'ai donc revêtu une chemise et un jean, mais mon coté pervers m'a poussé à ne pas mettre de slip. Compte tenu de la suite des évènements, je me demande à l'heure où j'écris ces lignes si je n'ai pas fait une erreur. Mais bon, je ne regrette rien.

7 H 30, le téléphone sonne enfin, Dom Louise vient d'arriver à l'hôtel. 3 coups fermes à la porte.

Je me précipite pour ouvrir la porte de ma chambre à « super Nany. Dom Louise n'est pas très grande, elle a le look de la Maitresse anglaise, les lunettes sévères et une robe un peu stricte. Son bonjour laisse transparaitre une grande humanité, qu'elle cache volontairement par une tenue destinée à en imposer. Sa démarche est volontaire et dynamique, et à cet instant, je me demande si je n'ai pas commis une grosse bêtise en acceptant de lui confier mes fesses. Mais il est bien trop tard pour reculer, d'autant que Dom Louise a déjà posé son manteau et son sac, et m'attends de pieds ferme.

« Alors, c'est toi le vilain garçon qui a fait des bêtises !  Explique-moi en quoi consistent les bêtises que tu as fait »

Je suis fortement impressionné par cette petite femme et par le ton péremptoire de sa voix. Je ne sais quoi répondre et baisse un peu la tête.

C'est à ce moment que je reçois ma première gifle. Et pas n'importe quelle gifle, de celles qui vous font vriller la tête sur elle-même, de celles qui vous blessent physiquement mais surtout au plus profond de votre amour propre. Les larmes me montent immédiatement aux yeux, mais j'arrive à les contenir.

« Alors, tu réponds » me lance-t-elle.

« Heu, j'ai menti à ma femme »

Une seconde claque du même acabit, vais-je tenir le coup ?

« Tu mens à ta femme, mais quoi d'autre ? »

Ma voix se transforme en un petit filet, et Dom Louise doit tendre l'oreille pour entendre ma prochain réponse tant j'ai honte de dire cela.

« Et bien, j'aime que l'on me fasse pipi dessus, et dans la bouche »

Dom Louise réprime un rictus de dégout, et m'assène deux nouvelles gifles bien sentie.

Elle s'assoit sur le canapé de la chambre, me demande de baisser mon pantalon et de venir m'allonger sur ces genoux. Moi qui ai bandé toute la nuit à cette idée, les quelques gifles que j'ai reçu ont remis ma queue à sa place, c'est-à-dire entre les jambes.

Je m'exécute, et en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, la main droite de Dom Louise s'abat sur mes fesses. Et quand nous avons parlé de fessée punitive, je peux le confirmer. Les coups s'enchainent, vite trop vite, mes fesses me brulent, la douleur est d'une intensité rare, et je commence rapidement à gesticuler à défaut de me débattre.

« Tu ne vas pas te mettre à brailler, j'espère » Me lance-t-elle. « Et arrête de bouger comme cela »

Et les coups reprennent de plus belle, 15, 20 je ne peux les compter.

« Allez, lève toi que j'admire le résultat de mon travail »

Je lève ma chemine pour qu'elle admire la couleur de mes fesses.

Mais le résultat ne lui convient pas. Je me retrouve une seconde fois en travers de ses genoux, les coups reprennent de plus belle. Je m'accroche à l'accoudoir du canapé, je tente de respirer et de retenir mes larmes, quand le calme revient.

Elle me demande de ma relever, et de lui montrer à nouveau des fesses brulantes qui doivent être bien rouge.

Elle se lève également et m'ordonne de lui embrasser les pieds en guise de remerciements. Je profite de ce court instant de répit, et m'exécute avec joie. Dom Louise a bien compris qu'un instant de repos était nécessaire, mais à mon grand damne, l'adoration de ses pieds est de trop courte durée.

Elle reprend sa position sur le canapé, et je me retrouve à nouveau les fesses à la merci de ses mains fermes. A cet instant, je commence à ne plus ressentir la douleur de la même façon. Les deux séances précédentes ont commencé à anesthésier ma peau, et j'ai beaucoup moins mal à chaque nouvelle claque, dont l'intensité n'a pas diminué pour autant. Aussi, c'est avec une légère déception, mais un peu de soulagement tout de même, que je l'entends dire :

« Je dois arrêter là, car si je continue, tu risque d'avoir des bleus. Tu n'a pas reçu assez de fessées ».

La séance est finie, et quand je remonte mon pantalon, je sens le contact du jean bruler mon postérieur.

Dom Louise prend le temps d'essayer de mieux me connaitre, et se dévoile un peu, c'est très agréable. Je crois que je reviendrais, en fait, j'en suis à peu près sur.

Je sais que la journée sera magique, je vais la passer réunion, et mes fesses écarlates me rappelleront toute la journée ce réveil en fanfare.

Jeudi soir, de retour chez moi, je n'ai pas résisté à l'envie, au besoin même, de regarder mes fesses dans la glace de la salle de bain. Cela fait bientôt 16 heurs que j'ai reçu ma correction, mais les fesses sont encore bien rouges, et quelques légères marques m'interdiront de montrer mes fesses pendant un jour ou deux,  au risque que ma femme découvre mes penchants pour la soumission et la fessée.

Merci Divine Louise !


Quelle semaine !

Merci pour ce texte tres excitant T. c'est toujours une plaisir de plublier tes aventures.

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Contributions - Communauté : Exhibition,sexe et soumission
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Lundi 11 mai 1 11 /05 /Mai 10:16
Bonjour je vous livre en dessous le texte d'un fan que j 'ai rencontré et qui je dois dire.... hummmm

je craque a ta voix elle donne envie de se laisser aller
je t'imagine devant moi te touchant , je degraffe tes boutons et fais apparaitre tes seins
doucement je les carresse de mes mains touche les pointes tendues de desirs !
je passe le bout de ma langue dessus tu sursaute a cette carresse alors je passe a lautre ma langue tourne autour du teton le suce maintenant !! et le mord !!!!!!!!!je reprend mon exploration avec ma langue , je descend entre tes seins sur ton ventre , ton corsage est entierement ouvert j arrive a raz de ta jupe , j'entends le bruit de tes doigts qui carressent to n sexe humide , tu dois etre trempée ca s'entend ,
Tu continue et glisse plusieurs doigts dans ta chatte qui degouline hummmmmm je sens l odeur de ton jus !!!!

je glisse un doigt avec les tiens et remue pour bien t'exciter en insistan sur ton clito tout gonflé puis mon doigt se dirige vers ton anus que je prepare avec ton jus ! en faisant des va et vient entre ta chatte et ton anus !!

tu leve tes fesses et je pe glisser mon doigts ds ton petit trou entierement hummmmm jadore ca !!!!! toi aussi a la facon dont tu gemis tu adore !!!!

je sens une de tes mains s'approcher de mon jean tu dois te demander est qu il a un slip un boxer ou rien ce kokin ? perdu un string !
tes doigts entrouve 2 boutons et glisse a l interieur du jean pour glisser sur le tissu de mon string tu fini de degraffer mon jean et le fais descendre sur mes chevilles tu admire la bosse faite par mon sexe tu glisse 2 doigts dessous le tissu au niveau des couilles pour t'assurer que c'est toujours aussi lisse et doux tes doigts glissent vers mes fesses et carresse mon anus hummmmmmm tu l'aime mon petit trou !!!!!

pendant ce temps mes doigts s'activent en toi 2 devant 2 derriere et le pouce sur le clito tu adore ca !!!!!!!!!!!!!je te fais jouir a fond .

je me met sur le dos et m'offre a toi , tu sors doucement mon sexe du string et leche le bout doucement tes mains sont sur mes fesses et me carresse , tu mouille tes doigts avec ton jus oh oh je devine !!! tu prepare mon trou a tes doigts hummmmm et gobe mon sexe en bouche !!

bientot tu pe glisser un doigt dedans apres la voir bien lubrifié avec ton jus plusieurs fois c'est trempé !!! alors tuglisse encore un autre doucement puis un 3eme oh lala !!!
toujours en ayant ma queue ds ta bouche !!!

pendant ce temps je t'ai mis ton beau gode en toi et il remue doucement , tu es trempée !!! il est trempée ca coule sur main !!
je l'enleve et te le donne tu comprend tout de suite et l'introduit en moi ss l arreter de remuer c'est bon !!!!!!!
pour finir tu viens tasseoir sur moi ton sexe sur ma bouche je bois ton jus qui coule et mord le clito tu descend et viens t'asseoir sur mon sexe face a moi je te prend par derriere et toi tu me gode
je suis sur que au bout de 5 minutes on explose de plaisir

a tenter non ?
bisessssssss partout L.

ps : si tu aimerais le faire dit le moi et on le fera

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Contributions - Communauté : Exhibition,sexe et soumission
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Vendredi 18 juillet 5 18 /07 /Juil 08:59

Durant mon absence, j'ai bien réfléchis et j'ai pensé faire une rubrique Fantasmes...
Rubrique dans laquelle je pourrais publier vos envies, vos fantasmes les plus fous que vous m'aurez adressé par mail...
Alors à vos plumes et claviers et écrivez moi, je vous publierais.

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Contributions
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Mercredi 19 septembre 3 19 /09 /Sep 10:25
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Merci Oliver... hummmm... ça donne envie.... 

Alors messieurs pouvoir profiter de moi  ne vous tente pas???
Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Contributions
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