Encore un texte très excitant qui nous a été envoyé
par T. je m'excuse auprès de lui de ne pas l'avoir publié plus tôt.
Maitresse Shalimar
Il est 20 H 15, et mon avion vient d'atterrir à l'aéroport de Brest. Je me dépêche d'attraper ma voiture de location pour filer à mon hôtel. Je suis oppressé, voire un peu stressé, car j'ai rendez-vous avec Maitresse Shalimar à 21 H, et je n'aimerais pas être en retard.
J'ai pris rendez-vous avec Maitresse sur un site de rencontre. Nous avons eu peu d'échanges par mail. Elle se présente comme une Maitresse expérimentée, et c'est bien ce qui m'a attiré, car je commence à avoir une petite expérience dans la soumission.
20 h 30, j'arrive à mon hôtel, prends une douche. Je veux être présentable intégralement. Je mets une belle chemise pour faire bonne impression, et je monte dans ma voiture. Je suis très excité à l'idée de cette nouvelle rencontre, et je fantasme sur la soirée que je vais passer. Un léger parfum d'inquiétude flotte, j'ai peur d'être déçu. Le GPS me conduit à l'adresse indiquée, et j'appelle Maitresse. Elle me donne des renseignements pour trouver sa porte d'entrée, mais dans le stress, je me trompe et dois la rappeler pour qu'elle me redonne les indications. Cela commence bien !!!
Enfin, je sonne à la porte. Maitresse ouvre sa porte sur un univers feutré. Les lumières tamisées font apparaitre une pièce où il fait de suite bon vivre, en noir et blanc. Un canapé en cuir blanc trône dans le salon, devant un superbe tapis douillet où il fera bon se faire fouetter, c'est du moins ce que j'espère.
Maitresse est habillée dans une superbe robe noire, ses jambes sont gainées de bas noirs, avec des escarpins assortis. Elle tente de me rassurer, car elle a senti d'emblée mon stress.
« Tu es à l'heure, c'est bien » me lance-t-elle.
« Tu te demandes pourquoi tu es là, si tu es bien normal de venir te perdre entre mes griffes » continue-t-elle.
Je reste muet et hoche la tête. Ma timidité prends le pas, comme souvent lors de ces premiers rendez-vous.
« Déshabille toi, et plus vite que ça ! »
Ouf, c'est parti ! Je n'ai plus à réfléchir, mais à obéir. Et c'est bien ce que je suis venu chercher. Obéir, me soumettre, arrêter de penser. Merci Maitresse.
Maitresse me prend par l'oreille et m'amène au centre de la pièce.
« Elle te plait ta Maitresse ? »
« A quatre pattes, et viens lécher les pieds de ta Maitresse »
Sentant ma grande timidité, Maitresse me bande les yeux d'un foulard.
Quel bonheur de vous lécher les pieds Maitresse, de faire briller vos escarpins, de sucer vos talons aiguilles. Je commence à me détendre, mais psychologiquement uniquement, car pour le reste, cela se tend. En bref, je bande !
« Remontes, lèche mes jambes, allez, continue à remonter ».
Je n'ose pas remonter trop haut, je n'ose pas regarder la lisière de vos bas, mais vous m'emmenez jusqu'à la partie de vos cuisses qui est à nue. L'excitation me gagne, mais je n'ose pas aller trop vite.
« Cambres toi ! »
Maitresse vient de se lever, et ma première fessée débute. Vos mains sont petites, Maitresse, mais je sens bien mes fesses rougir. Les coups s'abattent avec régularité, tel un métronome, et mes fesses commencent à bruler. C'est bon, et cela ne fait qu'augmenter mon érection. Puis c'est le martinet qui entre en action, qui me brule les cuisses et les fesses, mais également mes parties intimes et mon anus. Qu'est ce que j'aimerai pouvoir voir mes fesses dans la glace !
Pour me permettre de me remettre de ces premières émotions, Maitresse se fait plus câline. Elle me demande à nouveau de lui lécher les pieds, et de remonter jusqu'en haut de ses cuisses.
« Lèche, mon bon chien, lèche ta Maitresse »
Elle écarte les cuisses et m'offre son intimité. Je commence par me délecter de son odeur, et il ne fait aucun doute qu'elle prend du plaisir. Puis je sors ma langue et lape littéralement son minou. Elle ondule du bassin et profite du moment. Et je bande.
Puis elle se retourne, et offre son anus à ma langue. Quel bonheur, je darde ma langue, je l'enfonce au plus profond de son intimité. Je suis son gros toutou, et je crois qu'elle aime.
Maitresse évite de se laisser aller, se redresse et m'ordonne de me remettre à quatre pattes. Puis je l'entends changer de pièce, fouiller dans un sac et elle revient derrière moi.
Une sensation de froid me pénètre le fondement. Maitresse, d'un doigt ganté, commence à enduire mon petit trou de gel.
« Mais ça rentre comme dans du beurre ! Tu n'es vraiment qu'une chienne » me lance-t-elle.
Je sens les doigts entrer et sortir, et je tortille du cul pour augmenter les sensations. J'aime sentir mon anus s'élargir, et je commence à mouiller. Un doigt, 2 doigts, 3 doigts, je ne peux plus compter, le suis au bord de la jouissance.
« Cambre toi mieux que cela, pose ta tête à terre et laisse toi aller »
Maitresse reprends sa dilation anale. Je commence à avoir mal, mais ne suis-je pas venu ici dans cette intention : jouir dans la souffrance.
« Donnes moi ta main, petite chienne ».
Maitresse attire ma main vers elle avec sa main libre, mon cul toujours envahi par ses doigts.
« Regarde, j'ai entré ma main en entier dans ton cul ! » Et elle me fait toucher son avant bras, qui sors de mon cul.
Quel pied, pour la première fois en 5 années de soumission, je viens d'être fisté.
Merci, grand merci Maitresse !
Après quelques va et vient, elle se décide à retirer sa main.
« Ne bouge pas ! Bon chien. Et écarte bien tes fesses avec tes mains ! »
Je suis toujours à quatre pattes, la tête sur le sol, mes mains écartent au maximum mon anus dilaté.
Je retiens in extremis un hurlement. La cire chaude vient de couler sur mes fesses rougies. Maitresse se relève, et je comprends qu'elle vient de chercher une plus grosse bougie. La cire n'en finit plus de couler, et elle se rapproche dangereusement de mon anus si sensible après ce fist réussi.
Et bien sur, Maitresse impitoyable vient d'atteindre son but. La brulure est insoutenable. J'ai l'impression que de la lave en fusion rempli mon cul, et je ne peux réprimer un mouvement de recul pour me soustraire à cette brulure.
Maitresse sent bien qu'il est tant d'arrêter. Elle se fait plus douce, et me demande à nouveau de la lécher, devant, derrière. Quel bonheur, après tant de souffrance.
Je suis un bon chien, et je lui donne tout le plaisir que je peux, et je crois qu'elle en profite vraiment.
Pour finir cette soirée en beauté, Maitresse me demande de me donner du plaisir, de jouir devant elle. Elle me torture les seins, ce qui fait grimper mon plaisir, et il ne faut pas beaucoup de va et vient pour que je jouisse sous ses yeux.
Je suis anéanti, mais heureux.
Merci Maitresse pour cette superbe soirée.
3/4H entre l'atterrissage et le rendez-vous en banlieue Est de Brest en passant par l'hôtel, ce soumis est un X-Man !