Une semaine de février pas comme les autres
Cette fin semaine de février fut d'une richesse rare dans ma vis de soumis, et c'est un peu grâce au hasard qui a pointé le bout de son nez au bon moment.
Nous sommes Mercredi soir, il est 18 H et je pense travailler un peu tard car demain soir, je pars en déplacement à Marseille. Quelques dossiers à traiter, et je rentrerai tranquillement à la maison préparer ma valise.
Oui mais le téléphone sonne, et les dossiers vont devoir s'accumuler !
Il s'agit d'un numéro masqué mais, contrairement à toutes les dominatrices de France et de Navarre, je décide de prendre l'appel. Je reconnais immédiatement cette voix, chaleureuse, avec un fort accent slave. Il s'agit d'une personne que j'ai contactée il y a plusieurs mois sur un site de rencontre, en répondant à une annonce orientée Uro.
A ce stade de mon récit, permettez-moi une petite digression, pour ceux qui ne me connaissent pas encore bien. Et bien oui, l'uro est mon péché mignon, et je n'ai pas de meilleur souvenir de mes moult séances de domination que celles qui finirent en grosses douches dorées sur mon corps et/ou dans ma bouche.
Cette personne, appelons la Katia, se rappelle à mon bon souvenir, me demande si je cherche toujours à me faire pisser dessus. Elle habite à deux tours de roues de mon bureau, et si je suis toujours d'accord, elle m'attend dans 20 minutes.
Et que pensez-vous qu'il arriva à mes dossiers. Evidemment, mon sang ne fait qu'un tour, sa voix envoutante m'attire, et ma dernière séance uro est si loin !
J'accepte donc son invitation, range mes affaires et me précipite dans ma voiture. Je suis le GPS, trouve facilement l'adresse, mais en région parisienne, le plus difficile reste à trouver une place accueillante pour mon break. Au second tour de pâté de maison, le téléphone sonne. C'est la charmante pisseuse qui s'impatiente, et je comprendrai bientôt pourquoi.
Je trouve enfin une place, file à son adresse, l'appelle pour connaitre l'étage et le numéro de son appartement. L'excitation me gagne et je suis dans tous mes états quand, enfin, je sonne à sa porte.
Des bruits de talons résonnent nonchalamment sur un parquet, la porte s'ouvre sur une superbe blonde d'un mètre soixante dix. Elle est jeune, dans les 25 ans, mince, une silhouette de mannequin, moulée dans une petite robe ultra courte qui ne cache pas grand-chose de sa plastique.
Elle m'accueille avec un grand sourire dans son petit studio.
« Alors, c'est toi la salope qui vient pour se faire pisser dessus ! Déshabille-toi ! »
Pas grand chose à répondre, et je dois avouer que cette entrée en matière plus que directe me fait un certain effet. J'ai un peu de honte de dénuder mon corps d'homme mur devant cette gamine, mais il est trop tard pour reculer.
Elle me conduit dans la salle de bain, et m'indique la baignoire dans laquelle elle me fait signe de m'installer. C'est toujours le moment le plus désagréable, sentir la froidure du sanitaire sur son dos.
Mais les choses s'accélèrent bien vite, et la chaleur ne va tarder à grimper. D'un geste élégant et furtif, Katia retire sa robe, et se montre à moi entièrement nue. Je ne m'étais pas trompé, son corps est magnifique, mais je trouve dommage qu'elle ait cédé aux appels des plasticiens pour augmenter le volume de sa poitrine. Mais l'ensemble est très excitant. Elle caresse langoureusement sa chatte rasée, au dessus de laquelle elle a laissé un petit filet de poils blonds, tout en me regardant dans les yeux.
Je commence à me caresser par reflexe.
« C'est ça, ma salope, masturbe toi ! ». Elle a dit ça le plus naturellement du monde, avec un petit sourire dans lequel je ne lis aucun mépris.
Elle retire ses escarpins et grimpe sur la baignoire. J'ai sa chatte nue à la hauteur de ma bouche, et je ne peux refreiner l'envie irrépressible de lécher ce fruit défendu.
Elle se laisse faire volontiers, et je la sens s'ouvrir sous mes coups de langues.
Mais très vite, la chaleur qui me gagne n'a rien à voir avec son excitation. C'est un petit jet d'urine qui arrive dans ma bouche, que je m'empresse d'avaler. Elle a bon gout, pas fort, j'adore.
Vous savez quoi, je suis en train de bander en rédigeant ses quelques lignes.
Et là, je comprends pourquoi elle était si pressée de me voir arriver. C'est un jet continu et violent qui m'asperge. Je voudrais pouvoir déclencher le ralenti, faire des arrêts sur image pour me voir me délecter de se nectar des déesses, admirer ses jets puissants qui jaillissent de sa petite chatte. J'avale de grands jets, mais cela va trop vite et je dois me résoudre à gaspiller son champagne. Mais c'est aussi très excitant de le sentir couler sur mon corps. Et elle ne s'arrête pas, c'est véritablement merveilleux. J'avale une gorgée, le reste me coule dessus, et je recommence. Elle me dévisage de son regard ingénu tout en continuant à m'asperger.
Pendant se temps, ma main gauche n'a pas cessé d'astiquer ma queue qui tarde à jouir, tant je suis concentré à prendre le meilleur de ce que m'offre Katia.
Les jets deviennent plus légers, et je m'autorise à lécher cette chatte toute humide, d'enfoncer ma langue pour récupérer la dernière goutte de son champagne. Elle se laisse se faire gentiment jusqu'à ce que ma main gauche ait fini son office, et que je lâche ma semence sur mon ventre.
Un sourire radieux illumine mon visage, je frise le nirvana, et cela semble lui faire plaisir.
Katia prends le pommeau de douche pour se nettoyer au dessus de moi, avant de me laisser dans la baignoire en faire autant.
Je la rejoins rapidement dans sa pièce principale où je vais me rhabiller sous son regard amusé. Nous n'aurons pas échangé beaucoup de mots, mais je crois qu'elle a passé un bon moment, et moi, j'ai atteins des sommets. Merci Katia, et vive les rendez-vous improvisés.
Je rentre chez moi, heureux et détendu, mais la semaine est loin d'être fini.
Jeudi matin, avant de partir à mon boulot (je ne prendrai le départ pour Marseille que ce soir), je consulte ma messagerie personnelle, et découvre, avec un mélange de joie et de doute, une réponse de Dom Louise. J'ai répondu hier après midi à son annonce, avant de savoir comment se terminerait ma soirée avec Katia.
L'annonce était claire, une bonne fessée punitive sinon rien.
Un jour, je vous raconterai mes débuts dans la soumission, et c'est bien par la fessée que tout a commencé. Mais paradoxalement, depuis environ 4 ans que je passe de mains en mains plus ou moins sévères, je n'ai pas eu l'occasion de sentir la chaleur de mes fesses grimper sous les mains fermes d'un dominant. Alors, cette annonce ne pouvait me laisser indifférent.
Jeudi après midi, aux pieds de la gare de Lyon, j'appelle Dom Louise comme elle m'y a encouragé dans son mail. Sa voix est agréable, son discours direct et ferme. J'aime sa façon de me parler, et bien que cette rencontre tombe finalement assez mal (compte tenu de ma visite chez Katia mercredi), je ne peux qu'accepter de rencontrer cette femme devant laquelle, je le pressens, je deviendrais un petit garçon qui se fait corriger pour ses nombreuses bêtises. Dom Louise est d'ailleurs très claire au téléphone. Elle ne pratique pas le « pan pan cul cul » selon sa propre expression mais bien la fessée punitive.
Après un voyage en TGV pour me décider, nous tombons d'accord sur une fessée matinale. Dom Louise me rejoindra à l'hôtel à 7 H 30, et s'occupera de mon cas.
La nuit qui s'en suit est plus que mouvementée.
Je me réveille à 3 H en sursaut, je viens de rêver d'elle. Dans mon rêve, je la croisais à la réception de l'hôtel, en rentrant de diner avec un collègue. Sans nous connaitre, son regard me faisait comprendre que c'était elle, et mon collègue, manifestement au courant de mes penchants, me laissait seul avec elle. Ouf, ce n'est qu'un rêve.
Nouveau réveil à 5 H, après un ultime rêve de mon futur bourreau, assez proche du précédent, amis c'est avec ma famille ce coup ci.
A 6 H, je me réveille à nouveau, me prépare, et je commence à attendre, avant de m'apercevoir que j'ai une heure d'avance. Dur dur ! Encore une heure à attendre, à me faire des films et à stresser.
Dom Louise m'a demandé de la recevoir habillé, j'ai donc revêtu une chemise et un jean, mais mon coté pervers m'a poussé à ne pas mettre de slip. Compte tenu de la suite des évènements, je me demande à l'heure où j'écris ces lignes si je n'ai pas fait une erreur. Mais bon, je ne regrette rien.
7 H 30, le téléphone sonne enfin, Dom Louise vient d'arriver à l'hôtel. 3 coups fermes à la porte.
Je me précipite pour ouvrir la porte de ma chambre à « super Nany. Dom Louise n'est pas très grande, elle a le look de la Maitresse anglaise, les lunettes sévères et une robe un peu stricte. Son bonjour laisse transparaitre une grande humanité, qu'elle cache volontairement par une tenue destinée à en imposer. Sa démarche est volontaire et dynamique, et à cet instant, je me demande si je n'ai pas commis une grosse bêtise en acceptant de lui confier mes fesses. Mais il est bien trop tard pour reculer, d'autant que Dom Louise a déjà posé son manteau et son sac, et m'attends de pieds ferme.
« Alors, c'est toi le vilain garçon qui a fait des bêtises ! Explique-moi en quoi consistent les bêtises que tu as fait »
Je suis fortement impressionné par cette petite femme et par le ton péremptoire de sa voix. Je ne sais quoi répondre et baisse un peu la tête.
C'est à ce moment que je reçois ma première gifle. Et pas n'importe quelle gifle, de celles qui vous font vriller la tête sur elle-même, de celles qui vous blessent physiquement mais surtout au plus profond de votre amour propre. Les larmes me montent immédiatement aux yeux, mais j'arrive à les contenir.
« Alors, tu réponds » me lance-t-elle.
« Heu, j'ai menti à ma femme »
Une seconde claque du même acabit, vais-je tenir le coup ?
« Tu mens à ta femme, mais quoi d'autre ? »
Ma voix se transforme en un petit filet, et Dom Louise doit tendre l'oreille pour entendre ma prochain réponse tant j'ai honte de dire cela.
« Et bien, j'aime que l'on me fasse pipi dessus, et dans la bouche »
Dom Louise réprime un rictus de dégout, et m'assène deux nouvelles gifles bien sentie.
Elle s'assoit sur le canapé de la chambre, me demande de baisser mon pantalon et de venir m'allonger sur ces genoux. Moi qui ai bandé toute la nuit à cette idée, les quelques gifles que j'ai reçu ont remis ma queue à sa place, c'est-à-dire entre les jambes.
Je m'exécute, et en moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire, la main droite de Dom Louise s'abat sur mes fesses. Et quand nous avons parlé de fessée punitive, je peux le confirmer. Les coups s'enchainent, vite trop vite, mes fesses me brulent, la douleur est d'une intensité rare, et je commence rapidement à gesticuler à défaut de me débattre.
« Tu ne vas pas te mettre à brailler, j'espère » Me lance-t-elle. « Et arrête de bouger comme cela »
Et les coups reprennent de plus belle, 15, 20 je ne peux les compter.
« Allez, lève toi que j'admire le résultat de mon travail »
Je lève ma chemine pour qu'elle admire la couleur de mes fesses.
Mais le résultat ne lui convient pas. Je me retrouve une seconde fois en travers de ses genoux, les coups reprennent de plus belle. Je m'accroche à l'accoudoir du canapé, je tente de respirer et de retenir mes larmes, quand le calme revient.
Elle me demande de ma relever, et de lui montrer à nouveau des fesses brulantes qui doivent être bien rouge.
Elle se lève également et m'ordonne de lui embrasser les pieds en guise de remerciements. Je profite de ce court instant de répit, et m'exécute avec joie. Dom Louise a bien compris qu'un instant de repos était nécessaire, mais à mon grand damne, l'adoration de ses pieds est de trop courte durée.
Elle reprend sa position sur le canapé, et je me retrouve à nouveau les fesses à la merci de ses mains fermes. A cet instant, je commence à ne plus ressentir la douleur de la même façon. Les deux séances précédentes ont commencé à anesthésier ma peau, et j'ai beaucoup moins mal à chaque nouvelle claque, dont l'intensité n'a pas diminué pour autant. Aussi, c'est avec une légère déception, mais un peu de soulagement tout de même, que je l'entends dire :
« Je dois arrêter là, car si je continue, tu risque d'avoir des bleus. Tu n'a pas reçu assez de fessées ».
La séance est finie, et quand je remonte mon pantalon, je sens le contact du jean bruler mon postérieur.
Dom Louise prend le temps d'essayer de mieux me connaitre, et se dévoile un peu, c'est très agréable. Je crois que je reviendrais, en fait, j'en suis à peu près sur.
Je sais que la journée sera magique, je vais la passer réunion, et mes fesses écarlates me rappelleront toute la journée ce réveil en fanfare.
Jeudi soir, de retour chez moi, je n'ai pas résisté à l'envie, au besoin même, de regarder mes fesses dans la glace de la salle de bain. Cela fait bientôt 16 heurs que j'ai reçu ma correction, mais les fesses sont encore bien rouges, et quelques légères marques m'interdiront de montrer mes fesses pendant un jour ou deux, au risque que ma femme découvre mes penchants pour la soumission et la fessée.
Merci Divine Louise !
Quelle semaine !
Merci pour ce texte tres excitant T. c'est toujours
une plaisir de plublier tes aventures.