Vendredi 18 juillet 5 18 /07 /Juil 09:02

Mon chérie, mon Maître, si je vous écris c’est pour vous raconter ma journée afin que vous soyez fiers de moi et que vous puissiez vous rendre compte à quel point votre petite pute est bien à la hauteur  de vos attentes.

J’espère que vous serez satisfaits de moi.

Je peux d’ores et déjà vous dire que j’ai passé  une excellente journée. 

Je vous aime.

Votre petite salope

Le voyage

Il est 11 heures je ne travaille pas car j’ai pris une journée de repos pour m’occuper de moi et pour aller faire les magasins.
Dehors il fait beau, le soleil brille et la température est sympa.Après avoir pris ma douche je décide de m’habiller sexy comme j’aime le faire, je mets une petite jupe blanche très courte avec un chemisier noir, qui s’ouvre devant et qui est légèrement transparent sur un soutien gorge blanc qui laisse mes seins sortir, le porte jarretelles assorti, des bas beige et des petites chaussures.Un peu de parfum et me voilà prête pour aller me promener.Je pars de chez moi, je me dirige vers la voiture que déjà je croise des regards intéressés et remplit de désir et d’envie, je les remarque mais je ne m’y arrête pas malgré qu’ils m’excitent.
Une fois en voiture je cherche ou aller me promener…
Là me vient une idée : « si j’allais à Paris ??? »
Je roule don en direction de la capitale, mais pendant que j’avance, je me dis que je vais me faire chier à me garer, que je vais me perdre, donc je prends la décision d’y aller en transport en commun.
Je vais donc jusque Villepinte ou je sais que je vais pouvoir laisser ma voiture en toute tranquillité pour le reste de la journée.
Me voilà arrivée sur le parking, je me gare et me dirige en direction de la gare pour aller prendre mon RER.
Je croise quelques personnes au regard insistant vers ma personne, je bouge mon cul, telle une petite pute, en marchant l’excitation commence à monter tout doucement.
Je suis sur le quai et j’attends en marchant de ci de là…Je remarque un jeune homme d’environ 20 ans qui me matte à quelques mètres de moi. Je ne peux pas le louper car il n’y a que nous deux sur le quai.
Je ne le regarde pas plus que ça, mais je fais tout pour qu’il continue de me regarder, je laisse tomber mon ticket et je me baisse pour le ramasser en faisant en sorte de lui tourner le dos afin qu’il puisse avoir une vue directe sur ta croupe…je me relève, me retourne dans sa direction, il regarde tout de suite ailleurs l’air gêné.

Le RER arrive….

Je monte dans le wagon, je m’installe sur un siège  à coté de la fenêtre, en diagonale du jeune homme sur la banquette opposée.

La rame ne compte que 6 ou 7 personnes mais toutes face à moi car je me suis mise au fond du wagon de sorte que personne ne puisse être derrière moi.

Assise, la jupe remontant on peut voir la dentelle de mes bas, ce qui n’échappe pas à notre jeune homme…

Le RER redémarre…

Je croise les jambes afin qu’il puisse mieux voir ce qui se passe et je les décroise, je joue avec mes jambes afin de capter son regard de façon permanente. Et ça marche…

Je le fixe, je ne lui dis rien, juste un petit sourire de temps en temps mais je remarque le trouble qui l’envahit.

Puis je te téléphone et je te raconte ce qui se passe et ce que j’ai décidé de faire de ma journée à savoir les magasins. Nous parlons et au cours de la discussion tu me demandes de me caresser ce que je fais sans hésitation.

J’écarte les jambes afin de pouvoir poser ma main plus facilement sur ma chatte déjà trempée.

Le jeune homme n’en croit pas ses yeux, là pour le coup il ne me lâche plus du regard tout comme moi je le fixe.

Je vois son pantalon se tendre et ça m’excite encore plus.

Je pose la jambe qui est coté fenêtre sur la banquette en face de moi en écartant bien l autre afin de lui faire profiter encore plus de ce spectacle.

Je ne dis rien, je ne fais pas d’autres gestes que celui de me caresser, je le laisse regarder et faire ce qu’il pourrait avoir envie de faire… à lui de prendre l’initiative maintenant.

La journée s’annonce chaude, j’ai tout le temps de profiter…

Le RER ralenti, il arrive à la prochaine station, le jeune homme se lève et se dirige vers les portes.

Il est debout et me fixe, j’ai les jambes bien écartées et il voit ma chatte ouverte, luisante…

Le métro s’arrête et il descend en laissant échapper un sourire.

Hummmm ça commence bien…

Là à la station des gens montent et s’installent... le RER redémarre…

En face de moi s’est installée une femme et son gamin, sur ma gauche un homme d’une cinquantaine d’années, tout redevient calme.

Mais je remarque tout de même que l’homme qui est assis à mes cotés regarde mes cuisses et matte dans mon décolleté discrètement.

Le métro avance, et nous sommes un peu secoué, ce qui a pour effet que l’homme touche ma cuisse avec la sienne à chaque secousse. Il n’en faut pas plus pour m’exciter de nouveau.

Il a sa sacoche sur les cuisses et il la tient de chaque cotés.

Je ne sais pas si il le fait exprès mais je sens sa main de temps en temps le long de ma cuisse au rythme des mouvements de la rame.

Je bouge sur mon siège comme pour mieux m’assoire mais en fait je me rapproche de lui.

Le métro s’arrête et la femme descend, il n y a plus que lui et moi  sur la banquette et personne sur celle d’à coté.

Il redémarre…

L’homme regarde mes cuisses plus précisément maintenant, je croise les jambes afin de faire remonter ma jupe et ce qui laisse voir la naissance de mes bas. Je le vois bouger, il croise les jambes et bouge sa sacoche, il me semble deviner une certaine excitation chez lui.

Il fait tomber quelque chose de sa main entre nous deux, il la glisse pour aller chercher ce qui lui a échappé en s’excusant …Je ne bouge pas je le laisse faire, car je sens sa main contre ma cuisse.

Il met du temps a trouver ce qu’il cherche… Je sens bien qu’il profite de la situation pour me toucher ce qui n’est pas pour me déplaire mais il n’ose pas aller plus loin, je le laisse faire.

Le métro prend un virage et nous fait beaucoup bouger, sa sacoche vient cogner contre mes bas et les touche. Je regarde en espérant qu’il ne soit pas filé.

Et merde !!!…Mon bas est filé, je jette un regard un peu sombre à l’homme qui se confond en excuses, et je lui dis, ça va pour cette fois mais si vous recommencez je serais obligée de vous punir avec un grand sourire.

Je décide donc de le changer, je poses mon pied sur le siège d’en face, je détache la jarretelle et enlèves mon bas.

J’enfile l autre délicatement, en prenant bien soin de remonter ma jupe pour le rattacher.

L’homme bouge de plus en plus, il ne m’a pas quitté du regard pendant tout ce temps et je devine de l’excitation chez lui, mais je n’en suis pas sure, alors je veux vérifier.

Pour se faire je me tourne vers lui et je passe ma main sous sa sacoche il me regarde stupéfait par tant d’audace et je la dirige vers son entre cuisse, et là je tombe sur sa queue (visiblement il a une belle queue, pas très grosse mais longue) que je sens toute raide.

Il ne dit rien et se laisse faire, un peu gêné, il regarde partout si quelqu’un nous voit…

Je le caresse lentement, et j’accélère le mouvement, j’entends sa respiration s’accélérer…

Je le branle de plus en plus fort et très rapidement je sens sa queue gonfler, je sens qu’il va jouir alors je n’arrête pas, il ne bouge pas, il rougit ce qui m’excite encore plus.

Et puis d’un seul coup je sens l’homme se contracter et là je comprends qu’il va jouir et ça devient très chaud sous ma main, je ne me trompes pas il a jouit dans son pantalon…

Le métro arrive à une station, l’homme se lève sans dire un mot prend bien soin de conserver sa sacoche devant lui et s’en va sans un regard… Et je me retrouve encore toute seule.

La rame se vide presque, il ne me reste que deux stations avant d’arriver à destination, et est monté dans le wagon un clochard, il n’y a plus que lui et moi. Il est debout près de la porte en diagonal je le vois bien, il me jette un regard pervers et je lis dans ses yeux qu’il a envie de quelque chose. Je  re serres les cuisses…

L’insistance de son regard me met mal à l’aise et m’inquiète mais je n’arrive pas à dégager le mien de lui…

Il met sa main dans son pantalon et il commence à se toucher. Il sort sa queue de son pantalon crade en me regardant, une bite énorme, violacée  par tant de désir… je n’arrive pas à détacher mon regard de se sexe tendu et gonflé. Une si belle queue sur un être pareil !!! je la veux… si ce n était pas un clochard je serais déjà à genoux en train de la pomper comme une pute.Vous seriez contents mes amours car il me fait mouiller autant qu’il me fait peur.Je regardes partout dans le wagon mais il n y a que lui et moi.

Il se branle de plus en plus fort, ça m’excite grave je me remets à mouiller et sans vraiment contrôler ce que je fais, j’écarte les cuisses et je me caresse devant lui, je me caresse devant ce clochard qui n’en peut plus. Je sais que j’ai peu de temps car je vais arriver à destination, mais que m’arrive t il ? Je jouis comme une folle devant cet être abjecte.

Le métro va arriver à la station alors je me lève et je me dirige vers lui comme attirée par un aimant par cette putain de bite énorme comme je les aime, je n’en peux plus, j’ai trop envie de la toucher malgré que ça me dégoûte.

Mais mon envie est tellement forte que je ne peux m’en empêcher alors je la prends ma main et je commence à le branler. Il pose ses sales mains sur moi me caresse le cul putain que j’aimerais la sentir dans mon cul je me dis et en très peu de temps il crache son foutre là par terre dans le métro.

Le métro ralenti, et s’arrête, je suis arrivée je descends en laissant le clochard la bite à l air le regard médusé par ce qui vient de se passer et moi je suis trempée.

 

Je sors du métro…

A suivre .../...

 

 

Par cat_exhib_et_soumise - Publié dans : Fantasme
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