Le retour
Me voilà arrivée sur le quai, métro hôtel de ville, ce n’est pas la bonne heure pour le prendre car c’est blindé de monde. Les gens sont pressés, stressés et se bousculent dans tous les sens, moi je suis cool, zen, je plane et je ne cesse de penser à tout ça. Je mouille encore, mais quand est ce que ça va se calmer ?
Pff je viens de me rendre compte que je ne suis pas sur le bon quai, je regarde sur le plan et je vois que je dois faire un changement pour retrouver la ligne qui me conduit jusque villepinte.
Ce n’est pas grave, je ne suis pas particulièrement pressée.
Je n’ai pas acheté tout ce que je voulais… je serais obligée de reprendre une journée pour y retourner. Un métro arrive, je tente de monter dans la rame mais ce n’est pas possible, il y a trop de monde, alors j’attends le prochain. Je m’assois sur un siège et je patiente. Partie dans mes pensées, je ne remarque pas tout de suite qu’un homme passe et repasse devant moi en me regardant. C’est un homme d’une trentaine d’années qui comme tout le monde attends son métro lui aussi. J’entends au loin qu’il arrive, je me lève et me rapproche du quai, l’homme en question est devant moi. Le métro s’arrête, les portes s’ouvrent, du monde descend et nous pouvons enfin monter à notre tour. Dans la cohue, je sens une main me passer sur les fesses par-dessus ma jupe, je ne sais pas si c’est intentionnel ou pas mais ça m’a excitée. Voilà, nous sommes à l’intérieur, la rame est bondée. Je me tiens à la barre, car il n y a pas de place assise, coincée au milieu de tout ce monde. Bon alors je descends dans deux stations. Le métro démarre et à peine il se met en mouvement que je sens qu’on me colle derrière. Hummm… qu’est ce qui va se passer ?
Le métro bouge et nous suivons le rythme imposé par le mouvement de la rame. Mais je sens que la personne derrière moi se colle de plus en plus, c’est un homme j’en suis sure, car je sens son sexe contre mes fesses.
Il se rapproche de plus en plus, personne ne peut le voir faire, il y a trop de monde et moi je ne peux même pas me retourner pour voir à quoi il ressemble. Il se frotte de plus en plus et je sens sa bite durcir, ça m’excite énormément. J’aimerais bien qu’il me touche, sentir sa main sur mon cul, ses doigts dans ma chatte. Une station, du monde descend, et d autres remontent, la prochaine c’est la mienne. Tiens, je ne sens plus l’homme derrière moi, à peine je finis ma pensée que ça recommence. Là il se colle très fort, et il bande très dur… hummmm… je mouille comme une salope encore une fois.
La prochaine station est la mienne. Le métro s’arrête et je descends sans avoir vu l’homme qui était derrière moi et qui m’a mis le feu.
Je remonte le quai pour prendre ma correspondance. Je suis le mouvement. J’arrive à un escalator que j’emprunte… avec la jupe que j’ai, je sais que des regards vont se poser sur mon cul, je monte une jambe sur la marche du dessus pour relever ma jupe discrètement.
J’imagine tous ces regards posés sur moi et ça me fait mouiller de plus belle.
J’emprunte un long couloir ou je croise du monde, des hommes, des femmes, des ados, et très souvent je suis regardée par tout ce monde. J’aime qu’on me regarde. Ça m’excite, ça me fait mouiller.
J’arrive enfin sur le bon quai, il est noir de monde. Je fais comme tout le monde, j’attends.
Le RER arrive, je monte dedans, toujours pas de place assise alors je me mets à coté de la barre pour me tenir et je reste debout. Voilà c’est parti pour vingt minutes maintenant.
Le RER démarre et à peine a-t-il quitté le quai que je sens de nouveau derrière moi la même chose que tout à l heure. L’homme m’aurait il suivit ? Je pense que oui car la façon de faire est exactement la même.
Je sens sa bite contre mon cul, elle est dure. Puis d’un seul coup je sens une main glisser le long de mes fesses. Hummmm… j’adore…
Je pousse mon cul en arrière pour l’inviter à me toucher, chose qu’il ne tarde pas à faire. Je sens qu’il relève ma jupe doucement et discrètement, je le laisse faire.
Je descends ma main car j ai envie de toucher cette queue qui est collée à moi mais je n’y arrive pas.
Que se passe t il ? je ne sens plus la main de l’homme ni même son sexe contre mon cul.
Il s’est reculé.
Puis d’un seul coup je le sens se rapprocher de nouveau, je peux sentir sa main posée sur mon cul en train de le caresser, et… non !! Ce n’est pas vrai !!! Je sens sa queue, il l’a sorti et il est en train de se branler sur mon cul, putain le kiff… il se branle sur mon cul au milieu de tout le monde.
Je me recule pour lui faire comprendre que j’aimerais bien la sentir plus, j’écarte les jambes, je sens son gland passer entre mes fesses, entre mes lèvres, j’ai chaud, très chaud même. Je ne peux toujours pas descendre ma main tellement il y a du monde. Je tourne la tête afin de voir ce mystérieux personnage qui me fait tant de bien. Mais je ne peux le voir, par contre je croise le regard d un homme qui a le nez plongé dans mon décolleté. Un petit vieux d’environ 65 ans à peine plus grand que moi, il a une vue de rêve. Lui aussi tient la barre où j’ai ma main. Je la fais glisser le long de la barre et elle arrive au niveau de la sienne, ma main touche maintenant sa main, et toujours l’autre qui se branle sur mon cul.
Le vieux à coté de moi regarde mes nichons avec beaucoup d’insistante, je baisse à mon tour la tête et je vois une bosse sur son pantalon. Ça m’excite… je passe ma main sur la sienne en continuant de la faire descendre.
Je bouge mon cul car je sens qu’il a rentré un doigt tout en se branlant.
Ma main est enfin arrivée en bas de la barre, au niveau du sexe du vieux. Il a vu que je l’ai mise là et je ne bouge plus. Sous couvert d’une secousse, il vient plaquer sa bite le long de ma main. Je ne la retire pas, je la laisse et il en profite pour se frotter à elle.
Hummm toi tu as envie que je te touche… devant lâcher la barre je me plaque contre l’homme qui est derrière moi et je pose ma main sur la bite de l’autre. Il se rapproche de moi, j’ouvre discrètement sa braguette et rentre ma main sans son pantalon et là je trouve une queue a moitié dure que je commence à branler lentement. L’homme à chaud, il transpire, des gouttes perlent sur son front et toujours celui de derrière qui me passe sa bite entre les fesses… hummm j’aimerais bien la sentir en moi…
Je branle le petit vieux et très vite je le sens gicler dans ma main. Je m’essuie sur son slip et je la retire pour reprendre la barre.
Je sens l’homme derrière moi durcir de plus en plus…
A-t-il vu ce qui vient de se passer ?
M’as t il vu branler le petit vieux ?
Je ne le sais pas, mais ce que je sens c’est un liquide chaud couler entre mes fesses, il a gicler sur mon cul, m’a inondé de foutre et moi j ai jouis comme une malade en serrant les dents.
Je suis arrivée, je tire sur ma jupe et sors sans vouloir regarder l’homme qui était derrière moi.
J’arrive à ma voiture, je m’assois et je me caresse pour pouvoir laisser éclater ma jouissance.
Putain quel pied j ai pris … je suis une grosse salope et fier de l’être, je ne suis pas prête d’oublier mon après midi parisien.
Je démarre ma voiture et je rentre à la maison tranquillement, épuisée mais tellement comblée.
Voilà mes chéries vous savez tout de ma journée, et j’espère que votre petite pute a bien été à la hauteur de vos espérances.
Je vous aime et je serais toujours prête à combler le moindre de vos désirs.
Fin de la journée.
Ce n'est qu'un fantasme mais qu'est ce que j'aurais aimé que ça soit vraiment arrivé... j'espère qu'il vous aura
plu autant qu'à moi.