Mercredi 21 novembre
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Ce matin je suis arrivée comme d'habitude au bureau vers les 9h00, après m’être caressée sur le parking en ayant
eu mon Maître au téléphone.
Le temps de prendre un café de venir faire un tour sur le blog lire vos commentaires ce qui m’excite ensuite je
commence à travailler, mon téléphone sonne…
Un client appelle, je ne vous en ai pas encore parlé.... mais je ne le laisse pas insensible, ça fait quelques
jours qu’il me dragouille, il m’a même proposer de déjeuner avec lui deux fois… il est mignon ce qui ne gâche rien!!!
Il ne me laisse pas insensible non plus.
Je décroche, il me dit « bonjour Cat tu vas bien??? » Et nous parlons de nos affaires
professionnelles euhhhhhhh je pense que tout cela ne vous intéresse pas, ce que je peux vous dire c’est qu'il a une voix chaude et sensuelle, je ne me souviens pas vraiment tout ce qu il a pu me
dire, tellement j’étais absorbée par sa voix (imaginez mon état, je sentais ma chatte s’ouvrir, mon clito palpiter je commençais à couler, en fait j'avais envie de lui....) sauf qu’il me demande
si il peut passer retirer sa commande au magasin, et qu’en même temps il aimerait bien visiter les locaux, je lui dit pas de soucis (je n’allais pas louper une si belle occasion de le
voir,d’autant que la semaine dernière avec ses foutues grèves deux fois nous n avons pu déjeuner ensemble le midi).
Vers 10h20 un nouvel appel de mon client (pourvu qu’il ne me dise pas qu’il ne peut pas venir) afin de savoir
comment j’étais habillée ce à quoi je lui ai répondu qu il verrait bien !! Mon désir monte encore un cran de plus
10h30 Le magasinier m'appelle et me prévient qu’il est arrivé et qu’il m’attend… mon ventre se contracte,
une chaleur m'envahie.
Je me rends au magasin, en ouvrant la porte je le vois là devant moi, au fond du magasin… je le fixe, il me fixe
et je me dirige vers lui mes seins se tendent, tout le monde peut les voir au travers de mon haut près du corps, le temps d'arriver jusqu'à lui je sentais ma chatte couler entre mes cuisses, ses
yeux m’ont dévoré. Il avait envie de moi et moi de lui, je savais des lors que quelque chose arriverait mais je ne savais pas quand j'ai adoré ce moment.
Nous nous sommes fait la bise il a bien pris le temps de laisser longuement ses lèvres sur mes joue, mon cœur
s’accélérait grave, mon excitation montait de plus en plus,je m’ouvrais de plus en plus, sa peau était douce et son parfum enivrant hummm, nous sommes partis pour la visite, j’avais prévu un
passage par la salle de réunion afin de faire un petit bilan sur notre relation commerciale (il me fallait une raison pour me retrouver seule avec lui) tout était bon pour qu'il se rapproche de
moi, pour que nos corps se frôlent, j'étais excitée, et lui aussi je le sentais, à la fin de la visite, là il était clair qu’il ne pouvait pas repartir comme ça,qu’il n’était pas possible que je
reste dans un tel état et pour combien de temps ???,
Comme convenu, je l’invite donc à rejoindre la salle de réunion.
Pour nous y rendre nous devons emprunter un escalier tournant, assez raide, en bas de l’escalier, il
m’invite à monter la première (le coquin), je suis passée devant lui et comme vous le savez, si vous me lisez souvent, je ne porte jamais rien sous mes jupes... je montais donc lentement les
marches en prenant soin de bien bouger mon cul, de faire en sorte que ma jupe se leve accidentellement, j'imaginais son regard, je sentais ses yeux posés sur ma croupe, je devinais son envie
monter, je vous confirme il bandait comme un fou, mais il bandait déjà quand nous nous sommes vus au magasin, et moi j’étais une vraie chienne en chaleur.
Arrivés à l'étage, j'étais dans un état catastrophique,
j'avais envie de sentir sa queue, qu'il me touche, qu'il me baise…
Je l’invite donc à rentrer dans la salle de réunion, celle-ci étant etroite (la salle, pas moi…) je lui demande
donc de s'assoire, en faisant en sorte qui soit obligé de passer devant moi, contre moi,son torse frôlât mes seins durs et tendus...j’ai senti son souffle sur mon visage,j'ai adoré, je ne
pouvais plus me contrôler tellement j’avais envie de lui.
Là je me suis dit, il ne peut pas continuer sans que je profite de la situation, c’était maintenant ou jamais
qu’il fallait faire quelque chose même si l’endroit ne s’y prête pas vraiment.
Alors j’ai baissé mon bras qui lui indiquait la direction de la chaise et j'ai mis ma main sur son
jean.
J’ai senti un sexe tendu, sa queue raide, gonflée.
je me suis retournée sans dire un mot et lui ai tendu mes fesses, il a mis ses mains sur mes hanches et
doucement les as remontées sur mes seins j'ai poussé un petit gémissement, je coulais et m’ouvrais de plus en plus.
Je l’ai senti enlever son jean, il n’avait rien en dessous (aurait il préparé son coup ?) sa queue caressa
ma chatte, elle glissait entre mes lèvres et contre mon clito, je n'attendais qu'une chose c'était la sentir en moi, doucement il me repris par les hanches et par de petits vas et viens il
commença à me prendre, il allait et venait dans cette chatte ouverte, trempée, en accélérant tout doucement mais sûrement.
Au départ, je pensais qu’il allait me baiser comme une chienne mais non, il m'a fait l'amour, j'ai aimé, non
j’ai adoré sa belle queue, j'ai jouis doucement je n'ai pas pu exploser car nous étions dans un bureau, mais je prenais mon pied et lui aussi, je ne voulais pas que ça s'arrête, sa queue
gonflait en moi, je sentais son souffle, j'entendais ses gémissements et nous avons jouis en silence mais très fort.
Je le redis mais je pensais me faire baiser au départ car j'en avais trop envie, mais nous avons fait l'amour
je ne vois pas d'autre mot.
Ensuite, nous nous sommes réajustés et il est reparti, j’espère le revoir... très bientôt...dans un endroit
adapté et là je m’offrirais à lui de nouveau et nous ferons l’amour comme des fous.
Voilà ce qui c’est passé en cette matinée du 20 Novembre 2007.
Merci cher client…
Bisous
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